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 TRISH ⊹ you're not alone in the dark.

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Trish Valentine
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MessageSujet: TRISH ⊹ you're not alone in the dark. TRISH ⊹ you're not alone in the dark. EmptySam 22 Mar - 1:14




« Trish Jill Valentine »

La mort nous sourit à tous, tout ce qu’on peux faire c’est lui sourire à notre tour.


☇ LETTERS FROM THE SKY


nom ★ Valentine : un nom de famille qui reste facilement dans la tête et qui fait certainement sourire certain en pensant à cette fête qu'est la Saint-Valentin. Bien que la demoiselle change très souvent de noms vis à vis de ses missions, elle reste toujours aussi fière de porter ce nom qu'on lui a donner à la naissance. prénoms ★ Trish, en voilà un prénom peu commun. Et pourtant c'est celui que ses parents ont décidés qu'elle porterait bien des mois avant qu'elle ne pousse son premier cri. En effet, la sœur de sa mère étant décédée des années avant sa naissance dans un accident de voiture, ses parents savaient très bien que leur premier enfant aurait l'immense plaisir de porter ce prénom ou plus exactement le surnom qu'on lui avait donner. C'est donc ainsi que le prénom Trish fut choisit. Quant à son second prénom, Jill, il fait juste référence à sa grand mère paternelle. date de naissance & âge ★ Trish est née un samedi en ce mois d’août où la chaleur bat son plein, plus exactement le 8 août 1987. Ainsi, elle est donc âgée aujourd'hui de 27 ans allant cette année sur sa vingtième année. lieu de naissance ★ Milwaukee située dans l'état du Wisconsin : voici le lieu de naissance de la demoiselle. On pourrait croire qu'elle a vu le jour dans l'un des nombreux hôpital de la ville, mais ce n'est absolument pas le cas. Le travail ayant déjà commencer et l’hôpital étant à l'autre bout de la ville, elle aurait accouchée de Trish dans la chambre parentale. nationalité & origines ★ Tout simplement : Américaine. Trish n'a pas de double nationalité et à vrai dire cela lui suffit amplement. Quant à ses origines, elle aurait soit disant du sang français qui coulent dans ses veines. Ceci dit, elle sait parler plus de huits langues différentes donc qu'importe les origines, ce n'est pas ce qui fait ce que nous sommes. situation ★ Les relations amoureuses ce n'est vraiment pas son truc, sa dernière s'est terminée dans un fiasco total qui a fait qu'elle n'a plus jamais voulu avoir un autre homme dans sa vie. Après tout quand on se fait violer par l'homme qui soit-disant vous aime, on tombe plus bas que terre ce qui ne tombe réellement pas envie de revivre ça une seconde fois. Même si tous les hommes ne sont certainement pas tous des enfoirés, Trish n'a jamais voulu retenter l'expérience. C'est donc sans surprise que notre chère brune est toujours célibataire depuis près de dix ans maintenant. Et le seul homme qui arrive à l'approcher sans se faire mettre à terre est son partenaire, point final ! Et n'essayez pas de la draguer, déjà d'un elle ne répondra pas vos attentes et de deux, vous risquez de finir la face contre terre ou avec un poing en pleine face. métier et/ou études ★ Ce n'est certainement pas le métier dont elle rêvait de faire étant petite fille, mais avec le temps, les envies changent. Bien que plus jeune, elle a rêver d'être hôtesse de l'air afin de voyager à travers le monde, ce n'est absolument pas dans le tourisme qu'elle a trouvée sa voie. C'est ainsi qu'elle a intégrer l'école de la CIA, travaillant ainsi pour cette organisation dont l'entrainement lui en aura fait voir de toutes les couleurs et pourtant qui l'aura fait grandir même si cela l'aura rendue encore plus froide qu'elle l'était avant. Mais voilà que depuis six ans, elle a intégrer une nouvelle équipe travaillant encore une fois pour le gouvernement, spécialisé cette fois ci dans les missions d'infiltration (O.P.S), faisant très fréquemment équipe avec Alec Blackwell qui se trouve être également son supérieur. Pour rien au monde, elle n'échangerait son boulot avec quelqu'un d'autre. classe sociale ★ On peut dire qu'elle appartient à ce qu'on appelle la classe moyenne. Elle ne roule pas sur l'or et de toute façon, elle ne serait pas quoi en faire. Puis quand on touche le salaire d'un fonctionnaire, on peut pas avoir la demeure d'un ministre. De toute façon, les biens matériels n'intéressent vraiment pas Trish. Elle se contente simplement de ce qu'elle a et cela lui suffit. Alors non, elle n'a pas un salaire à 5 chiffres, mais qu'importe quand on fait un boulot qu'on aime. L'argent ne fait pas tout, encore moins le bonheur, non ? trait de caractères ★ prudente ∞ patiente ∞ méfiante ∞ naturelle ∞ vraiment pas superficielle ∞ bagarreuse ∞ intelligente ∞ a une très bonne mémoire ∞ froide ∞ très bonne actrice ∞ ne fait confiance à personne ∞ insomniaque ∞ têtue ∞ cultivée ∞ directe ∞ impulsive ∞ mature ∞ ouverte ∞ loyale ∞ franche ∞ énergétique voire hyperactive ∞ discrète ∞ ...



☇ THE MEMORY OF A HEART


► depuis combien de temps habitez-vous à green valley ? C'est compliquée, je dois dire … Enfin quand on me connaît, on sait que je dis souvent que c'est compliquée. J'ai du aménager à Green Valley quand j'avais environ dix-sept ans suite à ma tentative de suicide … Un appel à l'aide qui à fait que mes parents ont décider de quitter la grande ville pour venir s'installer ici dans ce coin perdu. Ma petite sœur à suivit aussi le mouvement, ce qui est logique, on ne laisse pas un mineur sans surveillance. Mais c'est surtout grâce à la mutation de ma mère à l’hôpital de Portland qu'on a débarquer ici, étant donner que le trajet est des plus court et surtout qu'on a de la famille ici. Enfin ce dont je vous parle à dix ans maintenant. Je sais que mes parents habitent toujours à Green Valley. Quant à moi, je jongle entre Portland et Los Angeles principalement, sans attache et sans domicile fixe. Rassurez-vous, je ne dors pas sous les ponts, mais une chambre d'hôtel me convient parfaitement, bien qu'un jour, il faudrait que j’investisse dans un appartement ou du moins un studio ne serait pas du luxe. Un jour, un jour mais comment dire ? C'est compliquée … ► que représente l'amour à vos yeux et l'avez vous connu ? L'amour ? Ce n'est qu'une absurdité qu'on nous montre à la télévision et qui soit-disant fait palpiter le cœur. Peut être que mes parents auraient du être un exemple pour moi, un modèle mais à vrai dire je n'ai jamais enviée leur relation, ni même celle d'une tierce personne. Je ne suis pas jalouse, alors ce n'est pas évident. Je ne sais pas ce que l'amour représente réellement à mes yeux car je n'arrive pas à y croire, c'est automatique, je me renferme toujours sur moi. Je n'arrive pas à y croire, après une déception amoureuse, je pense que cela semble logique non ? J'ai cru l'avoir rencontrer une fois, un jour. C'était l'homme qui me faisait tant rire, avec qui j'étais presque inséparable : mon meilleur ami d'enfance. Je devais vraiment être amoureuse pour m'être fait tatouer son nom au dessus de l’aine et aussi être totalement aveugle pour ne pas voir qu'au final il m'a totalement prise pour une conne, c'est bel et bien le terme ! Mais ce n'était qu'une illusion, car au final un mec qui ne pense qu'à vous baisez ce n'est pas de l'amour … ► quel est le plus plus gros regret de votre vie ? On vit tous avec des regrets je pense, ou alors c'est que vous n'êtes pas humain. Mais le plus gros de ma vie ? Je pense qu'il doit s'agir, de ne pas avoir eut assez le courage de faire face à ce connard qui a abusé de moi, de ne pas m'être assez débattue et de l'avoir brisé autant qu'il l'a pu le faire avec moi. D'avoir à cause de lui, vécue dans la peur et l'inquiétude quasiment toute ma vie. Avoir du renoncer à ma famille et mes proches. Et même en l'ayant revu au cours de ses dix dernières années, n'avoir pas eut encore une fois le courage de l'affronter et d'avoir du prendre mes jambes à mon cou, tant la peur prenait le dessus … Dans un sens heureusement que Alec était là ce soir la, sinon je pense que je n'aurais pas supporter une seconde fois qu'on me touche et cette fois je ne me serais pas louper … ► avez-vous des manies, particularités ou autres ? déteste les madames je-sais-tout ∞ ne dort que deux à trois heures par nuit voire fait des nuits blanches sans pour autant être fatiguée le lendemain ∞ déteste qu'on la touche ∞ quand elle ne bosse pas, elle passe ses nuits devant une console de jeux ∞ n'aime pas regarder la télévision ∞ n'a absolument pas la main verte ∞ boit au minimum six cafés par jour ∞ ne supporte pas s'habiller avec des tenues « courtes », ça lui donne l'impression d'être une pute ∞ si elle est sur facebook, c'est uniquement pour jouer aux jeux et sa liste d'amis n'est pas longue ∞ adore tout ce qui est aromatisé à la noix de coco et au citron ∞ ne fume pas ou alors ne le fait que pour le bien d'une mission ∞ les tequila paf sont telle une drogue ∞ tient très bien l'alcool, rare sont ceux qui l'on vu bourrée ∞ sait parler huit langues différentes ∞ préfère les deux roues aux voitures, puis une femme sur une moto c'est toujours très sexy ∞ ne sort jamais sans ses lunettes de soleil ∞ si elle s'ennuie, elle lira un bon livre ∞ ne lui parler de célébrités, elle ne suit vraiment pas l’actualité et cela ne l'intéresse pas ∞ son arme de service ne la quitte jamais, elle dort même avec ∞ c'est rare qu'elle rate sa cible ∞ ne comprend rien aux réseaux sociaux ∞ les sushis c'est pas son truc, elle préfère de loin les makis ∞ n'est pas fan de sport, bien qu'elle s’entraîne des heures et des heures ∞ fait peur quand elle est en colère ∞ est allergique aux poils de chien ∞ a une peur bleue des requins, cependant elle adore les serpents ∞ s'est fait enlever le tatouage qu'elle avait au dessus de l'aine ∞ garde des cicatrices de sa tentation de suicide, qu'elle arrive à dissimuler à la perfection ∞ est une fan inconditionnelle de tous les marvels, elle n'a ratée aucun des films au cinéma et à lu chaque comics possible ∞ s'habille essentiellement en noir ∞ ...





☇ OPEN YOUR EYES

célébrité ⊱ peyton list. pseudo/prénom et âge ⊱ princess of the hell / sonia ∞ 23 ans. présence sur le forum ⊱ quelques heures tous les jours. ou avez-vous connu MTB ? ⊱ vous êtes sérieux avec cette question ? avez-vous pris un scénario ? ⊱ non.  possédez-vous d'autres comptes sur le forum ? ⊱ mason pierce (paul wesley) ∞ jillian o'bryan (claire holt) . code du règlement ⊱ vous pouvez chercher ailleurs.  groupe ⊱ à venir. commentaires ⊱ il me tarde les chéries qu'on ouvre ce petit bijou  TRISH ⊹ you're not alone in the dark. 722410393  crédits ⊱ tumblr.


Dernière édition par Trish Valentine le Sam 22 Mar - 14:38, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: TRISH ⊹ you're not alone in the dark. TRISH ⊹ you're not alone in the dark. EmptySam 22 Mar - 1:14



⊹ Wake me up, Wake me up inside. I can't wake up, Wake me up inside. Save me, Call my name and save me from the dark. Wake me up, Bid my blood to run. I can't wake up Before I come undone, Save me, Save me from the nothing I've become ...

Contraindre (verbe) : Obliger une personne à faire quelque chose contre son gré. ⊹ Peur (nom féminin) : Crainte, inquiétude ressentie face à un danger, une situation présente ou à venir. ⊹ Viol (nom masculin) : Rapport sexuel infligé sous la contrainte, constituant un crime. ⊹ Suicide (nom masculin) : 1. Action de celui qui se donne volontairement la mort. 2. Fait de risquer sa vie en s'exposant volontairement à un danger.

L'adolescence, cette période de la vie dont le passage est obligatoire pour chaque être humain. Cette période suivant l'enfance et précédant la vie d'adulte. Chaque personne est différente. Chaque personne réagit donc d'une manière différente à cette période. Vous avez pu être un ange durant votre enfance et pourtant vous êtes devenue le diable en personne en franchissant ce qu'on appelle la puberté. Ce cycle de la vie, ou nous nous sentons beaucoup plus adulte ou notre vie commence à prendre un sens. Perçu différemment suivant les garçons et les filles. Cette étape du développement qui est atteinte lorsque les organes de la reproduction sont fonctionnels. Qui nous donne cette métaphore stupide de ces fameux papillons dans le ventre. Comme si c’était possible de papillonner à l'intérieur de notre estomac. [ … ] Ayant eut une enfance bien qu'agréable mais constamment sous cette contrainte de suivre des règles imposées par le patriarche de la famille. Ce respect à lui devoir constamment pour cause qu'un de ses spermatozoïdes a remporter le marathon en allant jusqu'au l'ovule tant convoiter. Enfant on est très naïf ayant peur de se rebeller envers autrui, peur des nombreuses conséquences pensant directement à la prison pour la moindre petite chose. Après tout, il est tellement facile de faire croire n'importe quoi à un enfant pour qu'il vous écoute. Cependant et heureusement que cette période ne dure pas toute la vie. On se réveille un jour et on comprend que la vie autour de nous n'est pas aussi rose qu'on nous l'a tant dit. L'herbe du voisin à l'air certes plus verte mais cela ne veut pas dire que la vie y est meilleure. Il ne faut jamais se fier aux premières impressions, du moins c'est la philosophie de Trish. La demoiselle a apprit à ne pas faire confiance aux personnes qui l'entourent, même si elle passera son temps à vous sourire ou parfois à échanger quelques mots avec vous, ce n'est pas pour autant qu'elle vous accorde une importance capitale dans sa vie. Elle est loin d'être une salope manipulatrice, sans cœur qui ne pense qu'à sa propre personne. Non c'est plutôt une fille simple qui n'aime pas qu'on s’intéresse à elle préférant rester seule dans son coin. Ne faisant rien pour qu'on porte l'attention sur sa personne. Son armoire se compose essentiellement de Jeans ou de vêtement ample, abandonner ces hauts court qui laisser apparaître le nombril ou encore ces décolletés plongeant, ce n'est absolument pas son genre. Ainsi faire les boutiques avec sa mère s'avérer être une corvée plus qu'autre chose. D'ailleurs à force sa mère avait baisser les bras, lui achetant simplement des vêtements sans même lui demander son avis, les rangeant directement dans son armoire. Et pourtant Trish trouvait toujours le moyens de remettre les mêmes fringues. Mais avec le temps on change, ou plus du moins on commence à changer quand on comprend qu'on plaît aux garçons. De suite ça devient plus intéressant de se rendre belle, d'être bien habiller pour que le garçon de vos rêves vous remarque enfin. Ce garçon qui peut être n'importe qui, que vous avez pu côtoyer depuis votre plus jeune âge sans vous rendre compte que plus tard il serait celui qui ferait battre son cœur. Ce garçon avec qui vous avez jouer à la balle, comme aux petites voitures juste pour lui faire plaisir, parcouru des kilomètre au volant de votre bicyclette ou sur le guidon de ce dernier, appris avec à faire du patin à glace et du roller … Sans vous doutez une seule seconde que ce garçon changerait votre vie à tout jamais. Ryan. Voici son prénom. Un simple prénom typiquement américain, composé de deux syllabes. Un prénom si simple et pourtant qui aujourd'hui fait encore mal, au point d'en pleurer à chaude larmes sous la douche, comme si cet instant se répétait sans cesse juste en fermant les yeux, cet instant qui a changé sa vie qui fait qu'elle ne sera plus jamais la Trish qu'on connaît, mais une femme à l'apparence si forte et si froide qu'on pourrait croire que rien ne pourra jamais la brisé alors qu'au final elle est complètement brisé de l'intérieur. Ne jamais se fiez aux apparences, vous vous en souvenez ? Il était celui qu'elle considérait comme son meilleur ami étant petite, son voisin d'à côté, son inséparable : le frère qu'elle n'avait jamais eut la chance d'avoir. Puis l'un déménage, change de quartier. On dit qu'on restera toujours en contact mais on sait bien que c'est faux. On essaye de faire des efforts considérable pour se persuader du contraire, qu'on est réellement inséparables à la vie à la mort comme on le disait si bien. Mais on fait de nouvelles rencontres et avec le temps on s'oublie. Partageant toujours la même école, le même collège et le même lycée. Et pourtant, on ne se regarde plus, on ne se parlent même plus … Et si seulement cela avait été ainsi toute la vie, cela aurait été bien plus facile, cela aurait fait certainement moins de mal qu'à l'heure actuelle. Mais on croit tous aux secondes chances, alors on essaye d'y croire autant que l'on peut. Il était devenu ce genre de garçon populaire, que toutes les filles veulent s'arracher. Lui et sa bande de potes, les mecs qui marchent aux ralentis dans les films : c'était eux. Ryan faisait partie de ce groupe, des garçons soit disant les plus « canons » du lycée. Quant à Trish, elle faisait partie des meubles c'était à peine si on la remarquer. La demoiselle pouvait plus au moins mettre un nom sur chacun des visages, mais elle, personne ne se rappelait jamais du sien. Au final ce n'était pas si mal. Si seulement tout n'avait pas déraper … Trish se souvient encore de ce vendredi après midi, ou elle avait été collée. La raison ? Totalement stupide ! On l'avait soit-disant accuser d'avoir copié sur son voisin, ne pouvant croire qu'elle pouvait obtenir une bonne note à un devoir. Ce qui ceci dit en passant, l'avait mise hors d'elle même, allant jusqu'à insulter le professeur. Forcément Trish face à ses adolescent qui ont ce qui veulent en un claquement de doigts et dont les parents de ceux-ci ne lésine pas sur les pots de vins. Pour son insolence, elle avait écoper de quatre heures de retenue et bien entendue ses parents avaient été convoquer à son grand plaisir. Après un long sermon de son père suivit de sa mère, elle n'eut le choix que de se rendre dans cette pièce semblable à une salle de classe ou il était strictement interdit de parler. De toute façon, cela ne la déranger pas puisqu'elle avait un devoir à faire, transmit par ce « connard » de professeur. Elle ouvrit donc la porte, s'approchant du bureau afin de signer le registre stipulant qu'elle était bien présente. Elle aurait préférer être chez elle, tranquillement affaler sur son lit plutôt qu'être dans cette salle si minable. C'est ainsi que l'instant suivant, elle prit place sur l'une des tables libres, sortant ses affaires de son sac. Le seul bruit que l'on pouvait entendre été celui du crayon en contact avec le papier ainsi que la grosse horloge accrochée au dessus du tableau.  Quand le surveillant quitta la pièce, Trish leva automatique son regard vers lui avant de replonger sur sa copie. C'est sans surprise que l'ensemble des personnes autours d'elles se mirent à parler à chuchotant ce qui rapidement devenait des conversations audibles pour les autres. C'est bien connu, quand le chat n'est pas la, les souris dansent. Trish posa son crayon, se retourna légèrement afin de voir les visages présent, ceux des personnes qui subissaient la même punition pour une raison x ou y. C'est alors qu'elle le vit lui. Impossible de baisser le regard, il était bien trop tard pour une quelconque esquive. Ils eurent en même temps se sourire timide qui voulait en dire tant. Un sourire qui était capable en une fraction de seconde de remonter le temps, de se revoir plus jeune et totalement insouciant, se rappelant ces souvenirs tant enfoui. Trish se retourna afin de reprendre place sur sa copie puisque le jeune homme s'était fait embarqué dans une conversation avec une jolie blonde. Sans comprendre comment, il était la par dessus son épaule en train de regarder ce qu'elle écrivait. Trish sursauta, ne s'attendant pas à ça, mettant sa main sur son cœur avant de voir que ce n'était que lui. « Je t'ai fais peur Valentine ? Je croyais que tu étais une dure à cuire ? » Elle le regarda sans comprendre pourquoi il était la avec elle, en train de lui parler alors qu'ils se s'étaient plus la parole depuis des années. C'était à n'y rien comprendre. « Tu te souviens encore de mon nom Redfield ? » Voila c'était dit, telle une bombe dans cette conversation qui avait l'air si innocente. En quête de réponse, elle avait besoin de savoir ce qu'il foutait ici. « Comment l'oublier ? Puis t'es l’héroïne de mon jeu en ce moment, j'ignorais que t'étais devenue tueuse de zombie. Tu m'étonneras toujours. » Elle sourit à sa remarque sachant très bien de quoi il voulait parler. Il faisait référence au célèbre jeux-vidéos sortit sur Playstation, la sage connu mondialement : Resident Evil. « Tu sais Redfield, je choisis toujours de te laisser crever à la fin, je ne te sauve jamais la vie. Puis sérieux t'es encore à ce jeu ? Tu sais qu'il y en a des nouveaux de sortie, faut se mettre à la page. » Des pics et encore des pics, de quoi se chercher et ils savaient très bien l'un comme l'autre qu'ils se trouveraient. Ce qui est amusant et qu'il faut savoir c'est que le nom de famille de Trish et Ryan sont les deux noms de famille de deux des personnages principaux du jeux, ce qui explique cette accentuation sur ceux ci. De plus, l’héroïne se prénomme Jill Valentine et drôle de coïncidence, c'est également le deuxième prénom de Trish qu'elle tient de sa grand-mère maternelle. « C'est une très touchante attention je dois dire Valentine. Au moins tu as penser à moi. » Elle leva les yeux encore une fois vers lui avant d'ajouter : « Bon tu veux quoi Redfield ? J'ai pas que ça à faire et la tu me fais perdre mon temps, alors que je pourrais défoncer ta gueule en plein jeu ! » Oui la douceur ce n'était pas vraiment son fort, sachant qu'elle avait été blesser, cela serait encore plus difficile. « C'est pas charmant des mots aussi grossier dans la bouche d'une femme. Enfin, non je me disais qu'on avait été cons de prendre autant de distance, puis je suis retombé sur des photos et ça m'a fait penser à toi. Donc si t'es d'accord, je sais pas on pourrait passer un peu de temps ensemble ... » Avant même qu'il n'est eut le temps de finir sa phrase, elle lui dit : « D'accord. » en hochant la tête. Il fut surpris de sa réponse, au final elle même en fut surprise. Trish était loin d'être rancunière, puis il avait toujours été son confident auparavant, même s'il était devenu un vrai con, peut être qu'en sa présence il serait son Ryan, le Ryan de ses souvenirs.

⊹ ⊹ ⊹
Depuis ce dernier contact entre les deux adolescents, huit mois avaient passé. Et autant dire qu'en huit mois, il s'en était passer des choses. En effet après cet échange de paroles, ils s'étaient retrouvés après le lycée à aller boire un chocolat dans l'un des cafés de la ville. De fils en aiguilles, ils avaient parler du temps perdu et remarquer qu'au final, cette absence n'avait été qu'une perte de temps qu'il fallait aujourd'hui rattraper. Et effectivement durant ces huit long mois ils ont eut le temps de rattraper le temps perdu. Puisqu'à force de se retrouver après les cours pour aller boire un chocolat, après on s'invite chez l'autre pour jouer à la consoles, puis on reste dîner, on part à pas d'heure … C'est donc sans surprise que deux mois après « ces retrouvailles », Trish et Ryan commencent à sortit ensemble. Un baiser échanger durant une séance de cinéma, durant le film Resident Evil : Apocalypse (pour le clin d’œil). C'est ainsi qu'aujourd'hui, ils sont ensemble depuis près de six mois. Une première pour Trish qui se dit être amoureuse, dont tout sentiment semble réciproques. Elle a d'ailleurs été très surprise de voir Ryan vouloir s'afficher avec elle, après tout jusqu'ici il n'avait jamais eut de relation sérieuse. Ce que Trish considère comme une preuve d'amour, prouvant donc à l'être aimé ce qu'on ressent et l'importance qu'il peut avoir à nos yeux. Et si elle savait … Trish avait confiance en lui, une confiance aveugle, ce genre de confiance qu'on pourrait tuer pour l'autre. Il y avait de nombreux bruit de couloir qui circuler et Trish n'y avait jamais fait attention, ce n'était pas son genre d'écouter les ragots et encore moins d'en raconter elle même. Mais en y repensant, elle aurait peut être du les écouter, cela lui aurait empêcher de vivre cet enfer … Ce sombre souvenir qui reste glacer au fond de sa mémoire, qui l'a totalement détruite comme jamais. Elle aurait voir ces signaux, mais l'amour rend aveugle n'est ce pas ? Elle aurait du comprendre que les nombreuses tentatives de Ryan à vouloir la toucher, avait un réel sens. Le repoussant sans cesse, lui disant qu'elle n'était pas prête à franchir ce pas. Mais les hommes aiment rarement les relations platoniques, ils veulent toujours plus. Toujours à vouloir raconter à leurs potes « Ca y est je l'ai fais » voulant signifier je suis enfin un homme. Il n'y a aucun mérite, après tout c'est un acte naturel. On répète sans cesse de ne pas le faire avant le mariage ou uniquement avec une personne qu'on aime. Et quand on pense avoir trouver la bonne personne pour que tout soit parfait comme dans les films, on se rend compte que ce n'est qu'un tissus de mensonge. Que ce ne sont que des conneries, que la vérité est beaucoup plus moche. C'est un acte reliant deux personnes, deux personnes qui doivent être consentante pour que cela fonctionne. S'il manque une variable c'est ce qu'on appelle le viol. Et vous avez compris, c'est bien de ça dont à été victime Trish. Ce soir a jamais graver dans sa mémoire comme dans la pierre. Le couple avait été ensemble à une soirée organiser par l'un du groupe. Une fête ou l'alcool est le mot d'ordre. « Ryan, on rentre s'il te plaît ? » Oui c'était aussi ce genre de soirée ou Trish ne se sentait vraiment pas à sa place. Elle en avait plus qu'assez de voir autant de filles roder autour de lui, sans qu'il ne dise rien. ALLO BORDEL ! Trish existe ! « Déjà ? Mais la fête ne fait que commencer. Allez encore un peu Trish, promis tu le regretteras pas. » Il venait de lui faire un clin d’œil en servant dans son verre un peu de Tequila, soit-disant pour la rendre plus amusant. Trish esquiva un sourire quittant la pièce pour la cuisine, ou elle déversa le liquide alcoolisé dans l'évier. Après tout dans un couple, il fallait faire des concessions des deux côtés pour que cela fonctionne. Ce n'est qu'une heure plus tard qu'il se montra, totalement ivre c'est une certitude. S'appuyant sur Trish de façon à ne pas tituber. « On t'a déjà dit que tu étais canon Valentine ? » Il avait glisser sa main dans le décolleté de la demoiselle, comme si elle n'allait pas le remarquer. Elle était brune pas blonde, donc pas conne. « Redfield, si j'étais toi j’enlèverai ma main de suite si tu veux pas que je te casse le bras. » Il avait repris son sérieux en enlevant sa main aussitôt qu'elle eut finit sa phrase. Puis il déposa ses mains sur ces avants bras, la regardant au plus profond de ses yeux. « Je suis désolé je voulais pas te blesser. Tu veux toujours rentrer ? » Trish n'eut besoin que de hocher la tête pour approuver son idée. Ryan déposa un baiser sur les lèvres de sa petite amie, avant de glisser sa main dans la sienne. Ils quittèrent la pièce ainsi, sortant par la porte d'entrée ou Ryan fit un bref signe de tête à ses amis, avant de d'ouvrir la portière à Trish afin de la faire monter à bord. Avant de faire le tour du véhicule, il échangea quelques mots avec l'un de ses meilleurs amis. Elle n'y prêta pas attention, jouant avec l'autoradio à la recherche d'une musique. Elle ne pouvait percevoir que des éclats de rire, sûrement encore une connerie de mecs. Ryan regagna le véhicule sans plus attendre souriant à Trish. « Tu seras capable de conduire ? » Il mit la clé dans le contact allumant directement le moteur, marche arrière en marche, lui faisant comprendre qu'il était tout en état de conduire. « Tu as confiance en moi Valentine non ? Puis je veux t’amener quelque part de spécial ce soir, j'ai prévu quelque chose qui devrais te plaire. Par contre met ça sur tes yeux, c'est une surprise. » Elle posa un regard sur ce foulard qu'il était en train de lui tendre. Ryan avoir une touche de romantisme, à vrai dire pourquoi pas ? C'est en souriant qu'elle accepta de prendre cet objet qui désormais cachait sa vision du monde extérieur. Le trajet en voiture dura plus d'une dizaine de minutes, Trish supposa qu'ils avaient quitter la ville, du moins le cœur. Ryan coupa le moteur. « Non attend, on est pas encore arrivés. » Dit-il en sortant de la voiture pour aller lui ouvrir en lui tendant sa main afin de l'aider à se guider. Durant le chemin à parcourir, Ryan était devenu un instant comme un chien d'aveugle ce qui avait eut le don de faire sourire Trish. Au bout de cinq minutes, ils se stoppèrent net. Le jeune homme enleva le bandeau présent sur ses yeux. Ils étaient au parc, non loin de la cascade. Plusieurs photophores avaient été allumé, ainsi qu'une couverture gisait au centre de ceux ci. Si cela n'avait pas été un moment romantique, Trish aurait pensé qu'il s'agisse d'un sacrifice humain pour un sortilège de magie. Ryan s'était déjà installer sur le drap, tendant sa main pour faire comprendre à Trish qu'elle pouvait venir sans craintes. Elle avança petit à petit, s’asseyant à son tour auprès du corps de son petit ami. « Allonge toi, tu verras c'est magnifique ce soir on va assister à une pluie d'étoiles filantes. » Elle fit donc sans se faire attendre, prenant sa main dans la sienne. Ils passèrent un moment ainsi à faire des vœux vu le nombre impressionnant d'étoiles qui pouvait passer devant leurs yeux. Cela aurait du être un magnifique moment en amoureux, partager avec l'homme qu'on aime. Mais, il ne faut jamais se fiez aux apparences. « Qu'est que tu fais la Ryan ? » Dit-elle en lui enlevant la main qu'il venait de passer sous sa robe. « Allez Trish, arrête de faire ta coincé. Il n'y a que toi et moi ce soir, regarde tout est parfait. Laissez toi aller, croit moi tu ne vas pas le regrettais. » Lança t-il avait de se jeter dans son cou où les baisers qu'il lui offrait s'intensifier à chaque fois. Alors qu'il allait glisser une fois de plus sa main sous sa robe, afin de la peloter d'avantage, Trish le gifla. « Arrête Ryan, j'ai pas envie. Tu ferais mieux de me ramener. » On dirait dit qu'il venait d'être marquer au fer rouge, après tout elle n'y avait pas été en douceur. « Bordel ça fait 6 mois que j’attends te de sauter. Alors ce soir tu vas te la fermez et croit moi que je vais le baisé ton petit cul que tu le veuille ou non. » Avant qu'elle n'eut le temps de dire quoi que se soit, il avait prit place sur elle, prenant son visage d'un main. « T'es qu'une salope Valentine et tu sais ce que je fais aux salopes dans ton genre, qui se croit trop bien pour baiser dès le premier soir et qui font languir encore et encore ... » Il avait un tout autre regard, totalement différent de celui qu'elle avait été habituer à voir. Il s'était rapprocher de son oreille lui glissant quelques mots : «  … Je leur fait subir ce que je m'apprête à te faire. » Il avait bloquer ses poignets, bien qu'elle était en train de se défendre mais en vain, il avait prit le contrôle sur elle. « Arrête de te débattre ça ne sert à rien. Tu peux hurler autant que tu veux, personne ne t'entendra ici. » On pouvait voir dans son regard qu'elle était totalement tétaniser, sans force ne sachant que faire … La peur ayant pris le contrôle sur elle. La seule chose dont elle était capable c'était de hurler à l'aide dans l'espoir qu'on vienne la sauver de ce psychopathe. « Mais tu vas te la fermer bordel ! » Il avait prit le foulard qui précédemment avait servit à lui bander les yeux, pour lui enfoncer dans la bouche afin qu'on ne puisse plus rien entendre. Il la regardait souriant avec satisfaction. Comme si ce n'était pas la première fois qu'il avait recours à cette technique pour parvenir à ses fins. L'adolescente n'arrivait pas à détacher son regard du sien, bien que sa vision se troubler de plus en plus au vu des chaudes larmes qui remplissaient ses yeux et qui couler le long de ses joues. Il avait bloquer les mains de Trish au dessus de sa tête, tandis qu'avec son autre main, il venait de déchirer le bas de sa robe. Elle savait très bien ce qui allait se passer, elle en tremblait de peur comme jamais. Comment un homme en qui elle avait une confiance aveugle de la sorte pouvait devenir le pire des monstres ? Elle eut l'impression que son cœur allait exploser quand elle l'entendit défaire la ceinture de son jean et faire descendre celui ci à ces pieds. Elle ferma les yeux, pleurant encore plus fort. Elle n'avait plus aucunes forces … Elle essayait tant bien que mal de lui dire d'arrêter ce massacre, mais aucun son ne pouvait sortir de sa bouche. Et sans qu'elle ne s'y attende, il venait de la pénétrer avec une violence phénoménale, il du d'aller s'y prendre à plusieurs fois avant de déchirer son hymen. Tandis que lui était en train de prendre un plaisir dingue, elle était en train de souffrir le martyr … C'était une sensation horrible qui ne voulait pas se stopper, une sensation qu'elle n'avait jamais connu auparavant et qui était totalement en train de la faire agoniser. Cette torture dura encore et encore, Trish avait l'impression que cela avait durer toute une vie. Puis au bout d'un instant, ses larmes se stoppèrent non pas parce qu'il avait stopper, mais parce qu'elle n'y arrivait plus. Son regard se fixa sur un arbre non loin, si seulement elle pouvait s'enfuir jusqu'à la bas, elle y serait en sécurité … Mais ce connard, car c'est le terme qui le qualifie le plus, l'obligea à le regarder prendre son pied pendant qu'elle subissait ce qu'il lui donner. Jamais elle n'aurait voulu perdre sa virginité ainsi, jamais elle aurait penser que sa première fois serait le résultat d'un viol … Quand il eut finit son affaire, il se retira d'elle, la laissant au sol. « T'es divine Valentine, la prochaine fois je baiserai ta bouche tu verras tu adoreras. Tu croyais que j'en avais finis avec toi ? C'est que le début Valentine. Je reviendrai. » Avait-il dit en se rhabiller et se dirigeant vers son véhicule. Trish était rester à terre, toujours ce regard vide. Elle s'était assit, serrant ses genoux contre sa poitrine, pleurant à chaude larmes … Il allait revenir pour elle ? Comment pourrait-elle vivre avec ça ? Elle mit sa tête entre ses genoux et pleura le reste de larme qu'il pouvait lui rester dans son corps. Elle avait mal aussi bien physiquement que moralement … Il lui était impossible de se relever, elle mourrait de peur …

⊹ ⊹ ⊹
Deux jours, quarante huit heures durant lesquelles elle n'avait pas bouger. Elle en était totalement incapable … D'ailleurs se fut la police qui vint à sa recherche après que ses parents se soient inquiéter de ne pas l'avoir vu rentrer. Trish était encore sous le choc, aucun son ne pouvait sortir de sa bouche. L'agent de police voulu poser sa veste sur ses épaules, mais elle le repoussa par peur. Cette peur qui était en train de la ronger de l'intérieur. Elle s'était littéralement jeter dans les bras de ses parents qui l'attendait non loin. Leur étreinte avait pour effet de la rassurer. Ils la serrèrent fort dans leurs bras, heureux de la revoir. Oui mais dans quel état ? ... Suite au viol qu'elle venait de subir, Trish du faire une déposition contre son agresseur. Mais le plus horrible dans l'histoire ? C'est que personne ne voulu la croire. Ryan Redfield est de bonne famille, donc qui pourrait penser un seul jour qu'un mec comme lui pourrait faire de mal à une mouche. D'autant plus que toute sa bande de pote lui avait fournit un alibis en béton. Les pots de vin que revoient les flics de nos jours, c'est beau … Après ce jour, Trish n'a plus voulu remettre les pieds dans son lycée. La douleur étant trop fraîche et trop grande. Elle passait ses journées allonger sur son lit, un couteau à la main de peur qu'on puisse revenir la déranger. Elle était totalement effrayée et les séances de psy n'auront servit à rien. Son reflet dans la glace, la dégoûtait au plus au point. Elle avait mit feu à tout ce qui pouvait lui rappeler Ryan, sa chambre étant désormais bien vide. Elle s'était enlever elle même le tatouage ou elle avait inscrit son prénom au dessus de l'aine, ça avait pisser le sang mais qu'importe ce n'était rien comparé à la douleur qu'elle était en train de subir. Tout ce qu'elle voulait, c'était mourir … Mourir de la façon la plus courte, pour ne plus souffrir pour ne plus jamais revivre ce souvenir dans sa tête … Ce souvenir ou plutôt ce cauchemar qu'elle revivait à chaque fois qu'elle fermait les yeux. La toucher était devenu impossible, elle hurlait au moindre contact physique ou se replier sur elle même. Elle voulait en finir avec ses jours : mettre fin à sa vie. Ainsi, elle fit un choix très rapidement. Elle profita donc de l'absence de ses parents un après midi, pour se faire couler un bain. Elle regarda l'eau clair qui se propageait dans la cuve blanche, comme si elle était hypnotisé. Elle mit un pied dedans puis l'autre, sans même prendre le temps de se déshabiller, laissant couler l'eau à pleine puissance. Si bien que c'était en train de déborder et très vite cela coulerait certainement à travers la porte et dégoulinerait le long des escaliers. Elle essayait tant bien que mal de faire le vide dans sa tête, mais sans espoir. Tremblant, elle prit l'une des lames de rasoirs de son père qu'elle avait mit à proximité. Elle l'avait planté sans hésitation dans son avant bras droit afin d'en faire une entaille, faisant de même avec l'avant bras gauche. Le sang se mélangeait à l'eau, l'eau vira au rouge … Elle n'avait plus qu'à attendre … Elle ferma les yeux encore une fois, revivant cette scène pour laquelle, elle venait de mettre fin à ses jours. A cause de cet homme a qui elle avait fait confiance et qui n'avait jamais que l'utiliser juste uniquement pour abuser d'elle. Elle avait la tête qui tourne, elle venait certainement de perdre connaissance. Cependant elle entendait des voix au loin … Il était encore la pour elle, pour en finir avec elle comme il lui avait fait comprendre ? [ … ] Quand elle ouvrit les yeux, elle était dans une pièce totalement inconnue ou le blanc était l'unique couleur qu'elle arrivait à distinguer. Au fur et à mesure, elle parvient à voir une silhouette à ses côtés qui venait de se lever à tout hâte. « Infirmières, infirmières. Elle s'est réveiller. » Cette voix elle la reconnaîtrait parmi cent, cette voix si mielleuse dont Trish raffolait depuis sa naissance. « Grand-mère ? » Dit-elle en essayant de se relever légèrement de ce lit. Sa vision c'était éclairait et elle pouvait distinguer clairement le visage de sa grand-mère qui pleurait à chaude larme en voyant sa petite fille. Les deux femmes se serrèrent dans leur bras, c'est alors que Trish vu des bandages à ses poignets. Oui elle était toujours en vie, c'est vrai … Son enfer n'était donc pas terminer. « Mais, qu'est que tu fais ici ? » Sa grand-mère s'assit à son chevet, serrant sa main très forte. C'était une brave femme, Trish l'admirait beaucoup. Elle subissait chimiothérapie sur  chimiothérapie et pourtant elle était toujours présente. « Tes parents rassemblent leurs affaires et devrait être la d'ici une vingtaine d'heure avec les déménageurs. Oui vu ta petite tête ma chérie, tu te demandes de quoi je parles. Depuis le temps que ta mère veut être muter à Green Valley pour qu'on soient plus proche, son vœux a été exaucé. Puis repartir de nouveau en te construisant une nouvelle vie ma chérie, c'est ce qu'il y a de mieux. Laisse tout ce que tu as vécue en arrière, comme si cela n'avait jamais exciter et profiter du reste de ta vie. Je sais que c'est dur ce que je te dis, mais tu le comprendra avec le temps. » Elle venait de déposer sa main sur la joue de Trish. La jeune fille caresse la main de sa grand mère, elle savait très bien qu'elle avait totalement raison. Que se reconstruire allait prendre du temps, ça ne se serait pas du jour au lendemain, mais si elle était toujours en vie c'est qu'il y avait une raison. Que sa vie n'était pas encore finir et que peut être d'ici quelques années, elle vivrait quelque chose de vraiment magnifique …




Dernière édition par Trish Valentine le Jeu 10 Avr - 12:56, édité 1 fois
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Trish Valentine
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TRISH ⊹ you're not alone in the dark. Vide
MessageSujet: Re: TRISH ⊹ you're not alone in the dark. TRISH ⊹ you're not alone in the dark. EmptySam 22 Mar - 1:15



⊹ When your soul finds the soul it was waiting for. When someone walks into your heart, through an open door. When your hand finds the hand, it was meant to hold. Don't let go. Someone comes into your world. Suddenly your world has changed forever ...

Partenaire (nom) : Personne, groupe, collectivité, organisme ou entité avec laquelle on s'associe ou on s'allie pour réaliser une action commune dans une affaire, une entreprise, une négociation ou un projet. ⊹ Ambigu (adjectif) : 1. Équivoque, dont l'interprétation supporte plusieurs sens. 2. Incertain, dont la nature est difficile à cerner. ⊹ Indissociable (adjectif) : Qu'on ne peut séparer. ⊹ Défi (nom) : Provocation, appel à se mesurer.

Tant de choses avaient changer depuis son départ de Milwaukee, où Trish et ses parents avaient aménager à Green Valley, une petite fille de l’Oregon ou ses grand parents habitaient. Trish s'y habitua très rapidement, bien que depuis « l'accident » elle était prise de crise d’insomnie, ne dormant plus qu'un jour sur deux, et trois heures de sommeil lui suffisait amplement pour être en forme et c'était repartit pour quarante-huit heures. Depuis sa mésaventure avec son « ex-petit ami » si on peut appeler cette chose comme ça, Trish avait redoubler de vigilance envers les personnes du sexe opposé et avait pris de nombreux cours de self-défense afin de pouvoir se défendre elle même désormais. Devenue très vite experte en arts-martiaux, elle n'hésitera pas une seule à mettre la première personne qui la touche au tapis ne supportant plus d'ailleurs ce geste. C'est lors qu'une compétition, qu'elle se fait remarquer par un homme à la carrure imposante. « C'est des personnes comme vous, dont nous avons besoin dans notre équipe. Tenez voici ma carte, je reste en ville jusqu'à jeudi, donc si vous avez des questions n'hésitez pas. » Elle avait prit sa carte sans réellement comprendre ce qu'il attendait de lui et pourtant sans savoir pourquoi, elle savait que cette rencontre allait certainement changer sa vie. « Je dois signer ou ? » L'homme venait de  faire demi tour sur lui même, enlevant son chapeau qu'il posant contre son torse souriant à la brune. « Vous acceptez sans même savoir dans quoi vous vous engagez Mademoiselle Valentine, mais j'aime votre audace. » Comment savait-il son nom ? Et qui était-il ? Tant de questions qui était en train de se chevaucher dans sa tête, sans qu'une réponse ne lui vienne à l'esprit. « Je vois dans votre regard que cette question vous obsède. Vous vous demandez qui je peux être pour débarquer dans votre vie ainsi. Mais vous avez raison je suis impoli, je me présente Jack Thompson et je suis la personne qui va faire de votre vie un enfer pour les cinq prochaines années. » Ou voulait-il en venir ? Ignorant totalement ce que ces paroles voulaient dire ce qui eut le don de la déstabiliser bien que son visage ne laissait paraître aucunes émotions. « Vous pensez sérieusement que vous me faites peur ? Je vis déjà en enfer, alors je doute que cela puisse être pire. » Lâcha t-elle aussi froidement que possible. « Du répondant en plus, vous me plaisez Mademoiselle Valentine. Rassurez-vous je ne suis pas le grand méchant loup, mais ça s'y rapproche. Je vous donne rendez-vous demain à la première heure, au même endroit, ne soyez pas en retard, je déteste ça. » Il venait dans un sens de lui offrir une sortie de secours, de lui tendre sa main afin qu'elle le rejoigne dans son monde, de lui donner une échappatoire à ce monde d'angoisse dans lequel elle avait élue domicile et dont elle ne voulait plus être attacher. Trish comprit très vite à quel genre d'homme, elle avait à faire. Thompson n'était qu'un pion, plus ou moins un lien entre deux mondes. Il avait été envoyer vers elle, pour la recruter mais également la former. Elle comprit très vite également que si elle voulait le suivre, il fallait qu'elle abandonne les personnes qui comptait à ses yeux. Abandonnant père, mère et sœurs. Elle savait très bien qu'elle n'arrivait pas à les rayer de sa vie et pourtant il le fallait. Plus de repas de famille le dimanche midi, plus d'appel téléphonique pour 4 bricoles, plus de carte postale, plus de sourire, plus d'échange, adieu les fêtes de fin d'années et les anniversaire. C'est une nouvelle vie qui commence désormais. Elle savait qu'en passant le seuil de cette porte, elle ne pourrait certainement plus y mettre les pieds. Pensant toute la nuit le pour et le contre, elle en était venu à cette conclusion unique : il était tant qu'elle fasse de sa vie ce qu'elle voulait, qu'elle se reprenne en main et qu'elle arrête une fois pour toute d'avoir peur. Elle avait déposer sur la table de la salle à manger, une lettre – une lettre d'adieu – expliquant à ses parents les motifs de son départ et que sous aucuns prétextes ils ne devaient se lancer à sa recherche. Qu'elle reviendrait dès qu'elle en serait capable et sans oublier de leur dire qu'elle les aimaient plus que tout au monde. Trish avait rassembler quelques affaires dans un sac qu'elle mit sur son dos par la suite. Avant d'ouvrir la porte d'entrée, son regard se posa sur l'une des photos accrochés au mur. Elle sourit se rappelant de cet instant, ou cela avait été une seconde guerre mondiale pour prendre une photo ou tous les membres de sa famille était présent. Sans savoir pourquoi, elle la décrocha, la sortant de son cadre afin de la glisser dans la poche avant de son sac. Elle regarda une dernière fois derrière elle, avant de poser la main sur cette poignée qui signer la fin de sa vie actuelle. Dès qu'elle mit un pied dehors, un 4x4 noire aux vitres teintées l'attendait juste devant chez elle. Un homme en costume noir et aux lunettes de soleil, lui ouvrit la portière arrière. C'est ainsi qu'elle comprit qu'il venait pour elle, pour la chercher. D'un pas déterminée, elle sourit à cet homme avant d'enlever son sac de son dos pour le poser dans le véhicule prenant place à son tour. Elle ne fut pas surprise de voir que Thompson était également de la partie. « Prête ? » Elle hocha la tête en guise d'approbation. Il fit un signe au conducteur de démarrer. Son regard se déposa vers la demeure de ses parents, c'était sûrement la dernière fois qu'elle verrait cette belle palissade. L'instant suivant, son regard se posa sur la route infini qui s'offrait juste à elle, devant ses yeux.

⊹ ⊹ ⊹
Katharina Viktorovna, Nastia Dostoïevsk, Elizabeth Jones, Isabella Beneditti, … Tant de noms et d'identité qu'elle avait pu prendre au cours des cinq dernières années. Elle était devenue une experte dans l’infiltration en bossant pour le gouvernement plus exactement pour les services secrets. Oui ce genre de personne qu'on peut voir dans les films et pourtant c'est une totale réalité. Bosser pour le président des États-Unis, c'est une aubaine qui ne se présente qu'une fois. Elle en avait chier pour arriver ou elle était, ce n'avait pas été de tout repos et pourtant elle en tirait une expérience. L’entraînement était loin d'être simple, Thompson avait eut raison en disant que cela serait un enfer, un entraînement des forces spéciales : armement, combat tactique, protection, guérilla et infiltration. Effectivement, un entraînement des plus intensif. Heureusement qu'elle avait cette capacité à retenir facilement à apprendre tout très facilement, cette mémoire visuelle dont elle faisait preuve et qui était vraiment un atout. Cette capacité à tout enregistrer à apprendre plusieurs langues aussi facilement. Il avait fait d'elle, un vrai agent mais aussi une vraie machine à tuer. La première fois qu'elle avait pointer son flingue sur quelqu'un, c'était après que celui ci ait griller sa couverture et Trish n'eut pas d'autre choix ; c'était sa vie ou la sienne. Elle avait armée le 9 Millimètres et lui avait coller une balle entre les deux yeux, au stand de tir, elle n'avait pas une fois louper sa cible et ce soir la, cela n'avait pas échapper à la règle. Elle aurait penser qu’ôter une vie lui aurait briser le cœur, mais quand on est déjà briser de l'intérieur, quand on vit sans cœur depuis tellement d'années cela ne nous touche même plus. L'agent l'avait regarder se vider de son sang sur le beau tapis blanc de la chambre d'hôtel qu'il occupait. Son premier réflexe fut d'appeler ces équipes de nettoyeur, qui font tout le sale boulot à votre place. Était-elle ronger par des remords ? A vrai dire, cela ne lui avait fait ni chaud ni froid. Après tout dans ce monde c'est soit tu marches, soit tu crèves. Mais être une femme dans ce monde de pur machos, c'est très dur à vivre. Les hommes et leur putain de fierté à la con, qui ne veulent pas se faire commander par une femme et qui se croient tout permis avec elle. Allant même jusqu'à se faire surnommer « la reine des glaces » par l'ensemble du service ou elle travaille, après tout Trish n'est pas du genre à mélanger la vie privé et les relations professionnelles. Puis autant dire sa vie privé se résume à une chambre d'hôtel qu'elle change toutes les semaines, ne louant jamais sous le même pseudonyme. Quatre murs dans lesquels bizarrement, elle se sent chez elle. Ou c'est à peine si elle touche au lit, puis que selon elle dormir est une prête de temps. Passant ses soirées à jouer à cette console, cette console qui durant ce temps lui permet de faire le vide dans sa tête à ne plus penser à rien d'autre, de vivre dans un monde imaginaire ou elle peut être n'importe qui sans se soucier du reste du monde. Ceci dit, pas une nuit, elle ne le passait sans son arme. Ne supportant pas de vivre sans, après tout on ne sait jamais qui peut débarquer derrière cette porte. [ … ] La nuit avait été courte comme à son habitude, si bien que Trish n'avait même pas vu le temps passer. Cette douce journée marquant le premier jour du Printemps, ou comment à son habitude elle s'était rendu dans les bureaux ou elle bossait. Ce jour marquait également une tournure dans sa carrière. En effet, aujourd'hui avait lieu la nomination du nouveau chef d'équipe, poste auquel elle avait postuler et été recommander par Thompson. Mais que ne fut pas sa surprise en posant un pied dans le bureau quand elle vu qu'on était en train de sabrer le champagne sur l'un des collègues. Trish était consternée, elle n'arrivait pas à comprendre pourquoi ce n'avait pas été elle qui avait eut le poste. Elle bu tout de même un verre à la santé de son collègue, cherchant le moyen le plus rapide pour quitter cet endroit et aller s'entretenir avec Thompson. « Je croyais que j'étais la personne la plus qualifiée pour ce poste. Que s'il ne me revenait pas, vous posterez votre démission. » Avait-elle lancer en ouvrant la porte du bureau, la refermant derrière elle, l'homme surpris par ses propos qui était tranquillement en train de boire son café. Il invita Trish à s'installer dans l'une des chaises, mais elle déclina son offre. « Toujours aussi têtue Mademoiselle Valentine. Je comprend votre réaction, mais si vous m'aviez laisser le temps de vous expliquez, vous sauriez que je vous ai recommander ailleurs. » Elle fronça un sourcil vers le haut, essayant de comprendre ce qu'il voulait dire. Il avait toujours ce chic de parler en code, ce qui avait le don de l'énerver. « Ailleurs ? » Thompson hocha la tête avant de poursuivre. « J'ai essayez d'appuyer votre candidature ici à Washington, mais vous savez ce n'est pas moi qui rend les jugement, il y a des personnes encore plus bien placer que moi. Et il s'avère que Jones a encore plus de relation que moi. Mais j'ai une offre bien plus intéressante pour vous. Vous commencez demain, votre avion décolle ce soir à huit heures. Tenez vous aurez de la lecture durant votre vol. Non ne discutez pas Valentine, c'est un ordre. » Trish prit l'enveloppe qu'il venait de lui tendre. « Très bien Monsieur. » Dit-elle en se faisant demi-tour sur elle même afin de regagner la porte. « Vous allez me manquez Mademoiselle Valentine, vous étiez l'un de nos meilleur élément si ce n'est le meilleur. » Trish sourit à sa remarque, un sourire qu'elle n'avait plus eut depuis des années. C'est satisfaite qu'elle ouvrit la porte la séparant de sa nouvelle affectation. Sans mentir, elle eut un pincement au cœur en quittant « cette maison » qui avait été la sienne durant les cinq dernières années et quitter Thompson, cet homme pour qui elle avait tant de respect et d’admiration, il avait pour elle un second père, un père spirituel. Cette sensation marquait le fait qu'elle était encore humaine et qu'elle pouvait encore ressentir des émotions, peut être qu'au final, elle qui se disait brisé de l'intérieur était en train de renaître tel un phœnix de ses cendres. [ … ] Trish s'était envolée pour Los Angeles, la cité des Anges comme on l'appelait si souvent. Cette ville de l'excès, ou en vingt-et-un ans, elle n'avait jamais poser un pied. C'était donc une première pour elle. Durant le vol, elle avait lu et relu le dossier qu'il lui avait été transmit sur sa nouvelle affection. La constitution d'une nouvelle équipe, d'après ce qu'elle avait compris, tous sélectionner pour leur aptitudes qui les rendait tous plus unique les uns que les autres. C'est donc aux alentours de trois heures et demi du matin que son avion atterrit dans cette nouvelle destination. Elle venait de quitter l'appareil, pour aller récupérer sa valise. C'était fou comme toute une vie pouvait tenir dans un espace aussi comprimer. Alors qu'elle était en train de récupérer l'objet en question, elle sentit une présence derrière elle. Sans perdre de temps, elle venait de faire une clé de bras à cet homme qui n'avait rien l'air d’effrayant, mais c'est Trish elle se méfie de tout ce qui bouge. « C'est quoi ton problème ? Tu veux quoi mon fric, ou attend laisse moi deviner. Ton truc c'est de venir ici le soir et d'essayer de chopper un petit cul à mettre dans ton lit . Tu t'es trompée de personne, mais si tu es en manque de sexe, va prendre ton fric et voir une pute, je suis certaine que c'est pas ça qu'il manque à Los Angeles et elle sera d'accord pour écarter ses jambes contrairement à moi. » Dit-elle en susurrant ses mots dans l'oreille du jeune homme. Et sans comprendre, l'instant suivant c'était lui qui venait de la mettre à terre, avant de lui tendre sa main pour l'aider à se relever. « Woooow quel accueil. Effectivement, tu ne te laisse pas faire ... Rassure toi je suis pas venu ici pour ce que tu penses, c'est moi qui soit chargé de venir de récupérer à l'aéroport. Blackwell, enchanté. » Trish resta quelque peu surprise, prenant la main qu'il venait de lui tendre comme gage d'une paix entre eux. « Enchantée et désolé pour ce que j'ai pu dire, je me laisse facilement emporter. Moi c'est ... » Elle n'avait pas finit sa phrase qu'il venait de la couper dans son élan. « Valentine, je sais. Tu as que ça ? » Dit-il en pointa sa valise du doigt, dans sa bouche ça paraissait si surprenant. Excusez-la mais Trish n'était pas le genre de fille à passer sa vie à faire du shopping et avoir un millions de tenue. « Tu sais que je peux la tenir moi même, il n'y a rien de lourd dedans. » Dit-elle en le fixant. « Je voulais juste être galant ... Je me doute que tu dois être crevée du au vol, mais demain on doit être le terrain. Je nous ai pris une chambre, je t'expliquerai tout en chemin, d'accord ? » Qu'est qu'il était têtu cet homme, il lui avait pris sa valise des mains et il eut droit en récompense à un regard des plus noir de la part de Trish. La demoiselle mit ses mains dans sa veste de cuir, le suivant au pas. Ensemble ils montèrent dans l'un de ces taxis, qui s'engagea sur la route afin de les conduire à ce hôtel dont il venait de parler. Dans sa tête, Trish se demandait s'il avait l'intelligence de prendre deux chambres ou au pire deux lits, bien qu'au final pour le peu qu'elle allait dormir, un canapé ferait très bien l'affaire aussi. Son regard se porta sur toutes les lumières qui illuminaient la ville, en étant presque ébahit. Le silence planait dans ce taxi, mais Alec le brisa. « Tu n'étais jamais venu à Los Angeles, vu ton regard. » Elle tourna vers lui. « Ça se voit vraiment tant que ça ? » Il eut un sourire à voir sa tête, ce qui fit rire Trish. C'était donc lui désormais son partenaire, celui avec qui elle allait partager de nombreuses missions. « Tu verras qu'avec le temps, on n'y fait même plus attention. J'ai oublié de te dire, ce soir on est mariés. Bon c'est pas une demande en mariage, mais elle t'ira très bien j'en suis certain. » Elle prit l'écrin en velours qu'il venait de lui tendre ou on pouvait voir une magnifique bague servit certainement de diamant. Trish la passa rapidement à son doigt. « On est qui ce soir ? » Dit-elle en refermant le boite totalement vide, la redonnant à son propriétaire. « Monsieur et Madame Hamilton, on est mariés depuis quelques semaines et on est venu à Los Angeles pour passer du temps avec notre belle famille. Je t'expliquerai tout ça en montant dans la chambre, rassure toi. » Trish hocha la tête. Une couverture, une de plus. Après tout c'était ce pourquoi elle était, ici ce pourquoi elle était payer. Le taxi se stoppa devant l'un des hôtel de la ville, très majestueux. Un portier vient lui ouvrir la porte, prenant par la même occasion les bagages du faux couples. Alec passa son bras au dessus de la taille de Trish qui venait de faire de même. Jouer la comédie était devenue un art, si bien que Trish se disait qu'elle aurait pu être actrice dans une autre vie. C'est donc bras dessus, bras dessous qu'ils avaient franchit ensemble ce sublime hôtel. Elle ne fut pas surprise qu'il la laisse passer avant lui, d'une galanterie à toutes épreuves. Il avait par la suite, glisser sa main dans la sienne. Ce qui eut le don de la déstabiliser légèrement avant qu'elle ne reprenne son sérieux. Main dans la main, ils marchèrent vers la réception. Ou le réceptionniste se faisait attendre, alors qu'il allait faire son entrée, ils s'échangèrent un regard essayent de paraître un couple tout ce qu'il y a de plus normal. « Fait moi confiance et tout ira bien. » Il s'était collé à elle, posant sa main dans le creux de son dos, rapprochant dangereusement ses lèvres des siennes. Les mordant et les embrassant, sans qu'elle ne puisse faire quelque chose. Sans quitter ses lèvres, il avait tendu son passeport au réceptionniste qui semblait très gêner par la situation. Trish quant à elle, déposa ses mains sur le visage du jeune homme rendant au visuel ce baiser encore plus sensuel. « On ne vous attendais pas avant deux jours Monsieur et Madame Hamilton ... » On pouvait sentir dans sa voix qu'il était mal à l'aise, on pouvait même l'entendre glousser. « … Enfin très bien, voici la carte de votre chambre, chambre 301 comme vous l'aviez demander. » Alec leva son pouce en l'air pour remerciez le réceptionniste, prenant la clé magnétique de la chambre pour la mettre dans sa poche. Il avait poser son front contre le sien, la regardant avec ce sourire timide aux lèvres. Elle avait repris sa main, pour les conduire jusqu'à l’ascenseur sous l’œil aviser du réceptionniste qui ne faisait que les regarde. Trish lui demanda encore une fois de l'embrasser, puis de prendre ses jambes en la collant contre les murs de cette cabine qui monter. Un baiser qui donnait cette impression torride, du début d'un mariage, comme tout les jeunes mariés qui ne passe leur temps qu'à faire l'amour. Les portes s'étaient refermer sur eux, sans pour autant qu'ils se lâchent. C'est ainsi que toujours la tenant dans ses bras, ils s'étaient appuyer sur la porte de leur chambre, commençant à se déshabiller, avant qu'Alec n'introduise la clé d'accès à la chambre, ouvrant la porte de celle ci à la voler qui se referma par la suite. Tombant d'ailleurs au sol l'un sur l'autre. « Et bien avec toi, on est direct dans le bain. » Dit-elle en le regardant. Alec avait sourit à sa remarque avant de lui tendre une nouvelle fois sa main pour l'aider à se relever. « J'aurais du te prévenir. Enfin tout est expliquer la dedans. » Dit-il en lui tendant un dossier, qu'elle allait sûrement lire toute la nuit afin d'en connaître les moindres détails. « La prochaine fois évite de mettre autant de langue, comment dire ... Ça me déstabilise. » Trish s'était jeter sur l'un des lit présent dans la pièce, souriant à sa remarque. C'est ainsi que s'acheva cette journée ou plutôt soirée. Le jeune homme était aller prendre une douche, tandis qu'elle était en train de lire avec attention le dossier qu'il venait de lui rendre. C'était une belle relation professionnelle qui venait de voir le jour. Sans se douter un seul instant que cette relation deviendrait des plus ambigu par la suite. Qu'il serait son inséparable, cet homme dont elle est indissociable. Avec qui les défis sont de plus en plus courant, voulant trouver prouver à l'autre qu'on est supérieur. Une belle amitié en soit.



⊹ And I don't wanna fall to pieces I just want to sit and stare at you. I don't want to talk about it and I don't want a conversation. I just want to cry in front of you , I don't want to talk about it, cuz I'm in Love With you ...

Confidence (nom) : Déclaration d'un secret personnel à quelqu'un. ⊹ Soutien (verbe) : 1. Action de soutenir, d'aider, de défendre, de protéger. 2. Personne qui soutient. ⊹ Rassurer (verbe) : Tranquilliser, redonner confiance. ⊹ Promesse (nom) : 1. Engagement. 2. Ce que l'on s'engage à faire. 3. Espérance qui annonce une suite heureuse.

Milwaukee, ville des États-Unis d'Amérique. Plus grande ville du Wisconsin et étant selon les statistiques, c'était la vingt-cinquième ville la plus peuplée du pays. Mais c'était aussi dans l'un de ces nombreux hôpitaux que Trish avait vu le jour. Dans cette ville qu'elle avait grandit en compagnie de ses parents et ses petites sœurs. Cette ville aux paysages qui lui rappelait tant de souvenirs. Près de dix longues années avaient passer entre son départ et aujourd'hui. Mais elle ne pouvait pas faire place à ce qui la hantée, même si toute cette ville, lui rappelait le cauchemar qu'elle avait vécue. D'ailleurs, elle n'avait pas dit un mot durant le vol. Ses écouteurs dans ses oreilles, elle avait passer son temps à écouter la douce mélodie qui sortait de ces petits appareils, en relisant ses notes ou plutôt ce dossier. Ce pourquoi au final, elle était ici. Ce pourquoi elle devait faire face à sa plus grande peur. Bien entendu, elle n'était pas venue seule dans ce lieu et certainement pas pour le plaisir, mais bel et bien pour le travail. Alec était la auprès d'elle, assit dans le siège d'à côté. Il avait fermer les yeux peu après que l'avion est prit son envol. Ce qui faisait sourire Trish à chaque fois qu'elle tournait la tête pour le regarder. Elle avait d'ailleurs demander à une hôtesse de lui apporter une couverture, afin qu'il n'attrape pas froid. Cet homme qui était à la fois son partenaire mais aussi son supérieur. Cet homme qu'elle avait appris à connaître au fils des années. Et voilà près de cinq ans qu'ils se côtoyer quasiment tous les jours. Avec qui le courant passer si bien. Dans un sens il était, le seul homme dans sa vie du moins le seul actuellement qu'elle laissait approcher si proche d'elle, qu'elle avait autoriser à la toucher. Alec n'était jamais brusque dans ses gestes, il avait toujours été doux avec elle comme s'il pouvait savoir ce qu'elle avait vécue sans même qu'elle n'ait prononcer un seul mot. Et à chaque fois qu'il avait juger s'être comporter comme un enfoiré dans une mission, il s'était excuser immédiatement par la suite. Ceci dit, ils adoraient s’entraîner ensemble, se battre à tester leur capacité, se donner des conseils pour le futur. Ils avaient pris cette habitude de jouer aux faux couples, ou parfois il était son frère et elle sa sœur. Tant de couvertures, les une plus inimaginable que les autres. Ils avaient pris cette habitude quand ils n'étaient pas ensemble, sur des missions différentes, d'envoyer un sms à l'autre, bref et court mais qui avait un impact, cet impact qui réchauffer le cœur de l'autre mais également rassurer l'autre qu'il peut dormir tranquille que tout s'est bien dérouler. Mais ce week-end, c'était à Milwaukee qu'ils se rendaient. Trish avait essayer de rester de marbre quand elle vu le nom de cette ville qui évoquer tant de souvenirs. Mais plus elle se rapprochait, plus elle avait cette boule au ventre. C'était pour cette raison qu'elle n'avait pas ouvert le hublot et espérait vraiment que ces deux jours passent vite. Ils devaient se rendre dans une soirée mondaine, dans le but d'approcher de près l'un des invités afin d'obtenir ou plutôt de voler des informations numérique. Après tout il y avait près de 600 000 habitants et quelle chance avait-elle de tomber nez à nez avec son violeur ? Une chance sur 600 000, en espérant que ce soir la chance serait avec elle et laisserait ce connard dans son coin loin d'elle. La jeune femme sortit de ses pensées en entendant Alec bailler, ce qui automatique la fit bailler. Par automatisme, elle tapa sur sa jambe, l'accusant d'être le coupable de cet acte qui ne voulait plus s'arrêter. Il sourit quand il vu cette douce couverture sur ses jambes, sachant très bien que cela devait être une petite attention de sa partenaire. « Impatiente de retrouver tes origines ? Je me souviens l'avoir lu dans ton dossier. » Dit-il en même temps qu'il venait d'appeler une hôtesse afin qu'elle lui apporte un verre d'eau. « Tu sais tu aurais pu me le demander Alec, je t'aurais répondu. » C'était un reproche. Ce qu'elle lui reprochait depuis un moment déjà. Ce manque de communication ou plus exactement de confiance en l'autre. Elle savait éperdument qu'il lui cachait quelque chose, mais elle n'arrivait pas à comprendre ce que c'était. Ni pourquoi, il la repousser à chaque fois qu'elle voulait passer un peu de temps avec lui hors boulot. Toujours cette excuse qu'au final, ils entretenaient uniquement une relation professionnelle et qu'en dehors du boulot, c'était chacun pour soi. N'étant pas du genre à abandonner, elle avait persister plusieurs pour au final lui dire que quand il serait prêt, elle serait la pour lui. Alec l'avait regarder sans rien ajouter de plus, il savait très bien qu'il avait tort. Mais Trish n'était pas mieux placer. Elle avait aussi ses torts et ne rajouta rien de plus car elle savait très bien qu'il le retournerait contre elle. L'un comme l'autre étaient des plus mystérieux sur leur passé. Autant ils pouvaient tout connaître de leur vie actuelle, mais concernant ces actes du passé, c'était un long silence interminable. « Temps-mort Trish. Oublie pas qu'on est un couple follement amoureux qui vient de se fiancer. Puis on va pas tarder à atterrir. » Trish lui avait jeter ce genre de regard noir, dont il avait l'habitude. « Tu dois être un bon baratineur ou je dois être intéresser que par ton argent pour avoir accepter cette demande. » Elle était plutôt fière de sa réponse, en riant intérieurement. « Ou alors je suis un très bon amant. Bien que tu as le nom d'une croqueuse de diamant, alors je pencherai pour cette hypothèse. » Ils échangèrent un regard avant de rire en cœur, ils avaient parfois ce comportement enfantin, qui les faisait sourire l'un comme l'autre. Elle avait poser machinalement sa main dans la sienne, le rôle prenant peut être le dessus sur la réalité. Alec avait fixé leurs mains avant de la regarder elle, Trish s'excusa pour son geste, elle n'avait soit-disant pas fait attention. C'est ce qu'on dit …

⊹ ⊹ ⊹
7:30 PM. Samedi soir. Hampton Inn & Suites Milwaukee Downtown. Trish n'avait pas fermée l’œil de la nuit, ce qui ne surprenait plus Alec à vrai dire il ne la voyait jamais dormir ou alors elle lui disait s'endormir après lui pour ne pas l’inquiéter. Mais quand on est terroriser, on ne vit que pour sa propre survie. L'angoisse, la peur, la colère : une multitude de sentiment qui passait dans sa tête sans qu'elle ne puisse dire stop. Pour autant, ils avaient passer la journée à filer quelqu'un et tout s'était dérouler dans les règles de l'art. Trish n'avait pas chercher à observer les changement ayant lieu depuis son absence, elle avait également éviter tous les chemins qui pouvait mener jusqu'au son ancienne demeure et ainsi cet endroit qui accélérer son rythme cardiaque et qui la faisait totalement paniquer. De peur de perdre le contrôle, elle avait préférer rester en retrait. Maintenant, elle ne pouvait plus faire machine arrière, elle devait mener à bien ce pourquoi elle était ici. Elle avait monopoliser la salle de bain, comme toutes femmes qui se respecte. Alec avait râler en se rappelant que oui c'était une femme et que les femmes ça passait des heures dans la salle de bain pour rien, ce qui lui valu une serviette en pleine tête de la part de Trish, qu'elle reprit par la suite se rappelant qu'elle allait en avoir besoin pour essuyer la buée présente sur le miroir. Chose faite, elle se regarda un instant. Pour une fois ça se voyait qu'elle n'avait pas dormit certainement du au stress. Mais ce qui est bien quand on est une femme, c'est qu'on peut tout dissimuler. En deux temps trois mouvements, on ne voyait plus ses cernes mais plutôt une femme qui pouvait prétendre être heureuse et ayant eut toutes ses heures de sommeil. Elle passant une dernière touche de gloss couleur fraise sur ses lèvres, ou Alec ne manqua pas de lui faire une remarque encore comme quoi il la soupçonnait d'en mettre uniquement pour le faire chier vu qu'il lui répétait mainte et mainte fois qu'il détestait ça, ça collait trop selon lui. Et comme à chaque fois, elle ne l'écoutait pas mais il avait raison, il n'aurait jamais du lui dire qu'il n'aimait pas ça, c'était un peu sa façon à elle de le taquiner. Elle avait lâcher ses cheveux, les bouclant et avait enfiler cette robe bustier de couleur corail ou elle était certaine qu'elle était trop petite pour elle bien qu'Alec lui avait dit le contraire, qu'elle était était magnifique dans cette tenue. Et ce qu'elle détestait par dessus tout, c'était ces talons d'une dizaine de centimètre qu'elle devait porter en raccord avec sa tenue. Ce n'était pas qu'elle ne savait pas marcher avec mais plutôt qu'elle préférait une bonne paire de botte que ça. Et pour tout l'or du monde, elle aurait troquer son jean pour cette robe qui la faisait ressembler selon elle a une prostituée … « Et tu arrives à ranger une arme dans ça ? Tu me surprendras toujours Trish. » Dit-il en la voyant quitter la salle de bain. « Si tu savais Alec, si tu savais. » Lui dit-elle en lui souriant avant de prendre sa pochette qui égayer le reste de sa tenue. Elle leva les yeux vers Alec, lui aussi été magnifique ce soir. Les costumes, lui allait à la perfection bien qu'il ne voulait jamais mettre une cravate. Trish avait prit son bras, quittant de cette façon la chambre pour se rendre à l’événement ayant lieu cinq étage plus bas [ … ] Tout c'était passer comme prévu, ils avaient réussit à se rapprocher de leur cible et la soirée se passait plutôt bien. Du moins ça l'était jusqu'à cet instant. Trish s'était rendu au bar pour aller chercher deux coupes de champagnes d'une couleur rosé, sa teinte préférer. Mais voilà qu'elle se figea, n'arrivant plus à réfléchir ni à savoir quoi faire. La raison ? Elle venait de croiser le regard de Ryan Redfield. Oui il était ici, à la même soirée mondaine qu'elle. Cette ville n'était donc pas assez grande pour qu'il puisse se retrouver au même endroit qu'elle. Elle le voyait venir vers elle, pétrifier, elle ne savait que faire. Trish lâcha les coupes qu'elle avait dans les mains, qui tombèrent au sol, éclatant dans un bruit des plus sourds qui fit retourner plusieurs tête vers elle. Le liquide était en train de se répandre à ses pieds et sans qu'elle s'excuse, elle avait fait demi tour, marchant tête baisser à toute allure vers les ascenseurs. Elle se disait que si elle rentrait dans l'un, elle serait sauvée et n'aurait plus qu'à faire ses bagages et rentrer le plus vite pour Los Angeles, la elle était sure qu'il ne la retrouverait pas. Trish appuyait d'une façon répétitive sur le bouton d'appel, regardant l’ascenseur qui descendait d'étage en étage. Elle tapait du pied, tremblant même. « Valentine. Ça faisait longtemps. Tu comptais me fuir ce soir ? Je dois dire que j'ai eut du mal à te reconnaître dans cette tenue, mais tu es devenue une vraie putain. » Mais aucuns sons ne pouvait sortir de sa bouche, cet homme la pétrifier totalement. C'était une certitude, elle avait peur très peur.  Il s'était d'ailleurs rapprocher dangereusement d'elle, ce qui était en train de la dégoûter. Ryan avait poser sa main sur sa joue ainsi que dans ses cheveux pour la caresser. Elle ne ressentait aucune excitation, la peur prenait le dessus, la rendant incapable de faire quoi que se soit. « Tu n'as pas oubliée ce que je t'avais promis et je vois dans tes yeux que tu n'attends que ça. » Il l'avait prit par l'un de ses poignet, le serrant de toute ses forces dans sa main. « Il y a un problème ? » C'était Alec qui s'était glisser juste derrière cette ordure. Le voir, la rassurer dans un sens mais elle ne voulait pas qu'il la voit dans cet état : si fragile. « Non mon pote, on s’apprêtait juste à passer du bon temps si tu vois ce que je veux dire. Donc si tu veux bien, nous avons un ascenseur à prendre. » Les portes de l'ascenseur venait en effet de s'ouvrir et il eut même cette audace de faire un clin d’œil à Alec qui assez étonnamment avait garder son sang froid. « Je sais pas pour qui tu te prends, ni qui tu es. Mais en l’occurrence, ma femme ne va pas avec toi. » Alec avait poser son bras autour de la taille de Trish, faisant face à ce crétin, du moins c'était ainsi que son esprit avait décider de l’appeler. « Valentine mariée ? Et bien je vois qu'on a du temps à rattraper, si bien sur vous me le permettez. » Quel manipulateur. Mais en entendant le nom de sa coéquipière, Alec comprit que cela devait être un ancien ami à la jeune femme. « Si jamais ça ne va pas, tu m'appelles d'accord ? J'ai pas confiance ... » Lui avait-il murmurer dans le creux de son oreille qu'elle était la seule à pouvoir entendre. Il savait déjà sa réponse avant même qu'elle n'ait eut le temps de répondre. Il avait plonger son regard dans le sien, avec l'aide de son index il avait remonter son menton pour déposer ses lèvres sur les siennes. Un baiser à la fois doux et passionner. C'était peut être sa façon de montrer que se soir, elle était effectivement sa femme et ce con n'avait pas intérêt à y toucher. Il déposa un autre baiser sur son front avant de repartir se fondre dans la masse, la laissant seule face à ce psychopathe. « Quelle mise en scène. Mais tu sais Valentine, mariée ou pas ça ne change rien à ce que j'ai pu te dire. Tu vas venir avec moi, que tu le veuilles ou non et ta putain de bouche va adorer ça. » Alors qu'il était en train de se rapprocher d'elle et de la saisir par le bras pour la forcer à monter dans cet ascenseur, elle frappa la ou ça fait mal, juste dans ses parties intimes. « Salope, tu vas voir si je t'attrapes. » Sans perdre une seconde, elle avait couru à travers ce long couloir, poursuivit de près par Ryan qui s'était mit à sa poursuite. Les escaliers, sûrement sa seule issue. Si elle arrivait à atteindre le cinquième étage et sa chambre, elle serait en sécurité. Trish monta aussi vite que possible les marches, entendant derrière elle cet enfoiré qui lui disait qu'il allait la choper et lui faire regretter son geste. Mais quand on a une centimètre de talon pour courir ce n'est pas évident. Ainsi la demoiselle trébuche, essayant de se relever au plus vite. Quatrième étage, elle y est presque. Mais alors qu'elle s'apprête à grimper les quelques marches qui lui manque, Ryan lui attrape la cheville, ce qui la fit tomber à terre. Trish essaya de s'accrocher aux rampes de l'escalier, mais sans succès, il la tirait déjà vers lui. Elle hurlait à la mort, pleurant à chaude larmes se rappelant de ce souvenir qu'elle avait tant enfouit en elle. « Ferme la putain, je vais te la faire fermer tu vas voir. » Encore une fois, elle entendue ce bruit qu'elle redoutait tant, ce bruit de cette ceinture qui se défaisait et de cette braguette qui tombait également. Il était en train de déchirer sa robe par le bas, quand il vu le neuf millimètres qu'elle cachait. Qu'il prit d'ailleurs en main, le pointa directement sur la tempe de Trish. « Je te jure tu me mords, tu hurles ou fait quoi que se soit, je te bute. » Elle le regardait apeurée, totalement sans défense … Alors qu'elle se voyait déjà dans sa tête, revivre cette scène des plus traumatisante, sans savoir pourquoi Ryan venait de voler contre le mur d'en face. En effet, Alec l'avait prit par le col de sa chemise et l'avait envoyer à l'autre bout de la cage d'escalier. Il s'était rapprocher de Trish avant que l'autre abrutit, ne vienne lui coller son poing en pleine figure. Il s'en était donc suivit une bagarre des plus violentes entre les deux hommes, pendant que Trish s'était cacher dans un coin, collant ses genoux contre sa poitrine se sentant si inutile et faible. Ils s'étaient donc battu ainsi pendant quelques minutes avant que Ryan ne prenne l'arme de Trish et sol et la pointa sur Alec, avant même qu'il n'est eut le temps de tirer, Alec avait dégainer avant lui et venait de lui coller une balle en pleine tête, le laissant se vider de son sang sur le sol. Alec leva les yeux à la recherche de Trish, quand il eut croiser son regard, il avait accouru vers elle. « C'est finit Trish. C'est moi Trish, n'ait pas peur, tu sais que jamais je ne te ferais de mal. » Elle avait lever les yeux vers lui, encore plein de larme dont elle n'arrivait pas à se défaire. Il avait poser délicatement sa main sur sa joue, essayant de la rassurer du mieux qu'il pouvait. Sans réfléchir, elle avait passer ses bras autour de son cou, tandis qu'il venait de la prendre dans ses bras pour la porter et la serrer contre lui. Elle regarda par dessus son épaule, ce corps inerte et sans vie qui gisait sur le sol. Alec ne s'était même pas retourner et avait monter les quelques marches qui les séparait de l'étage ou leur chambre se trouvait. Arriver dans la chambre, il la déposa sur le lit présent dans la pièce bien qu'il du s’asseoir avec elle puisque Trish ne voulait pas décoller ses bras de son cou. Alec avait poser son front contre le sien, essuyant avec son pouce les larmes qui coulait le long de ses joues. Trish avait ouvert délicatement les yeux, avant de se jeter dans ses bras encore une fois. Il lui caresser les cheveux en lui disant de se calmer et que plus jamais ça ne lui arriverait une chose pareil. « Merci. » Dit-elle en se reculant pour le regarder, tout en glissant sa main dans la sienne. Il avait ce regard rassurant, cette présence qui la faisait se sentir bien. « Tu n'as pas à me remercier Trish, tu aurais fais la même chose pour moi. Je veux pas m’initier dans ta vie, mais c'était qui ce mec Trish ? » Trish s'était lever d'un coup à la recherche de sa valise ou elle n’arrêtait pas de faire des va et vient sans fin afin de ranger toutes ses affaires, n’arrêtant pas de répéter qu'ils devaient partir et qu'il allait revenir pour elle encore. Alec s'était lever la stoppant dans son élan, il avait poser ses mains sur ses épaules en la regardant au plus profond d'elle. « Trish écoute moi. C'est finit, il ne reviendra plus jamais. Il est mort, je l'ai tué. C'est finit. Rassure toi et je te promet que plus personne ne te touchera, d'accord ? » Elle l'avait regarder une fois de plus avant de se jeter une nouvelle fois dans ses bras, pleurant à chaude larmes. Elle savait qu'il était sincère, il ne l'avait jamais autant qu'à cet instant. « Tu veux vraiment savoir ? » Il hocha la tête et l'invita à s’asseoir à ses cotés avide de savoir ce qui la perturber autant. Trish regarda ses pieds pendant quelques minutes, avant de relever ses yeux vers Alec bien qu'elle avait honte de lui dire ce qu'elle avait vécue. Elle poussa un long soupir avant de prendre la parole. « Pour tout te dire Alec quand j'ai appris qu'on devait venir ici, j'ai été prise de panique. Oui ça paraît idiot sachant que j'ai vécue une grande partie de ma vie ici, mais si je suis partie c'est que j'ai vécue un enfer ... » Il venait de prendre sa main, la serrant pour la rassurer lui faire comprendre qu'il était la pour elle, redoutant ce qu'elle allait lui dire. « Et cette ordure que tu as pu voir, c'est la raison qui m'a fait quitter la ville, qui m'a poussé à faire une tentative de suicide ... » Oui le passé de Trish n'était pas réellement agréable à entendre mais elle avait ce besoin de l'avouer, à lui. « ...parce que … parce qu'il … il m'a … il m'a violée ... » Elle n'avait pas quitter ses yeux, elle lui avait fait partager son lourd secret, ce qui la hantait depuis près de dix ans. Et lui en une fraction de seconde, il lui avait permit de ne plus avoir peur, d'enfin pouvoir vivre sans cette peur au fond d'elle qu'un jour il la retrouve et lui face endurer un enfer. Alec venait de la prendre dans ses bras, la posant sur ses genoux, caressant son visage avec douceur de peur de lui faire mal. Trish venait de lui prendre sa main en déposant un baiser sur celle ci. Elle avait finit par poser sa tête contre son torse, ou il n'arrêtait pas de lui caresser ses cheveux. « Je te promet de ne plus jamais te laisser seule, croit moi plus personne ne te touchera et le premier qui y pensera je le tuerai ... » Elle ne l'avait pas laisser finir, en posant son doigt sur sa bouche. Mettant ses mains de chaque côté de son visage, avant de rapprocher ses lèvres des siennes afin de ne plus les quitter. Alec avait été certes un peu surpris par son geste, mais ne l'avait pas repousser au contraire, il avait accentuer ce baiser en posant sa main dans ses cheveux se laissant tomber en arrière en l'attirant sur lui. Pas une seconde leurs lèvres s'étaient décoller, pas une seconde ils ne s'étaient lâcher et pas une seconde ils ne voulaient se quitter. Cette fois était unique, ce n'était pas la première qu'ils s'embrassaient mais c'était la première fois que c'était d'eux même sans jouer un personnage, ils étaient juste eux même. Se donnant l'un à l'autre, corps et âme. Ils avaient échanger ce regard, comprenant ce que l'autre voulait. C'était donc suivit, une séduction sans fin. Ces baisers qui se glissent dans la base du cou, qui remontent jusqu'au lèvres puis qui descendent le long du corps provoquant ces frissons, ces frissons que l'on appelle le désir. Ce désir si intense, si intime et interminable qui pouvait exister entre eux. Ils laissaient pour une fois aller leur corps l'un contre l'autre, comme une lutte à la recherche du plaisir charnel. Ce plaisir irrévocable, cette attraction entre eux qu'ils ne pouvaient désormais plus repousser. C'était bien réel, tout ce qu'il y a de plus réel. C'est ainsi que Trish et Alec firent l'amour durant toute la nuit, en douceur, suivit d'une fougue des plus endiablés … Il était sa première fois, un instant des plus touchant qu'ils venaient de partager à deux. Cela avait été la nuit parfaite, il avait été parfait encore plus doux qu'il pouvait l'être d'habitude. Et au bout de cette nuit, le plus beau avait été que pour une fois, elle avait dormit paisiblement dans ses bras.


Dernière édition par Trish Valentine le Jeu 10 Avr - 12:56, édité 1 fois
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Trish Valentine
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TRISH ⊹ you're not alone in the dark. Vide
MessageSujet: Re: TRISH ⊹ you're not alone in the dark. TRISH ⊹ you're not alone in the dark. EmptySam 22 Mar - 1:16

⊹ You tell me that you need me then you go and cut me down, but wait ... You tell me that you're sorry, didn't think I'd turn around, and say ... It's too late to apologize, it's too late. I said it's too late to apologize, it's too late. I'd take another chance, take a fall, take a shot for you. I need you like a heart needs a beat, but that's nothing new ...

Sentiment (nom) : État affectif dû à des émotions. ⊹ Relation (nom) : Lien, rapport entre des choses ou des personnes. ⊹ Amour (nom) : 1. Sentiment d'affection, d'attirance sentimentale et sexuelle entre deux personnes. 2. Sentiment d'attachement, d'affection mutuelle entre amis ou membres d'une même famille. ⊹ Attachement (nom) : Sentiment d'affection, de sympathie durable qui lie aux personnes ou aux choses.

Des jours, des semaines ainsi que des mois entiers s'étaient écouler depuis cette mission qui les avaient dans un sens rapprochés l'un de l'autre. Cependant, ils avaient qualifier cette nuit passés ensemble comme une « erreur » ou selon les mots de Trish : « un moment de faiblesse. » Ils avaient été d'accord l'un comme l'autre pour ne plus que cette mésaventure se reproduise où leurs corps n'avait fait plus qu'un le temps d'une nuit, laissant le plaisir charnel s'emparer d'eux. Après tout cela n'avait été qu'une seule nuit dans une toute vie, en quoi celle-ci aurait pu changer et altérer leur train de vie ? Ils s'étaient donc simplement rhabiller comme si la nuit avait été une nuit comme une autre, soulignant le fait que jamais personne ne devait être au courant de cette histoire. Mais ils auront beau dire que ceci n'était qu'une erreur, les regards ne trompent personne …  [ ... ] La filature, suivre quelqu'un était devenu tellement une habitude, qu'à force Trish aurait pu si bien le faire les yeux fermés. C'était son truc après tout, elle était tellement discrète qu'elle passait presque inaperçue par moment. Comme à cette époque au lycée ou elle était presque un fantôme déambulant dans les couloirs, sans même que personne ne connaisse son prénom, qu'elle connaissait déjà par cœur la vie des autres qui l'entouraient. Qu'importe ! C'était une mission comme une autre, comme elle en avait déjà résolues plusieurs sans aucuns problèmes, au pire quelques petites égratignures par ci par la ou encore une balle ou deux. Mais à cet instant de la journée, jamais un seul instant, elle aurait pu croire que cette mission allait prendre autant d'ampleur, jamais elle n'aurait cru que cella tournerait ainsi, jamais oh non jamais elle n'aurait cru avoir à vivre ça pour arriver à une fin aussi tragique … Vous mourrez d'envie de savoir ce qui a bien pu se passer lors de cette mission ? Et bien, vous allez bientôt le découvrir. C'est sans surprise que ce charmant Alec Blackwell était avec elle, il n'y aucun mal, après tout ils étaient partenaires non ? Puis l'un comme l'autre avaient fait abstraction de leur nuit torride pour reprendre leur relation initiale, qu'on aurait pu qualifier de plus que professionnel, certes il y avait tout ce protocole à respecter mais quoi qu'ils disent, ils étaient lier l'un à l'autre. Alors oui ils s'en tenaient à une relation de cet ordre, mais quand on passe des années aux côtés de la même personne, cela démange d'en savoir plus sur l'autre, cette stupide curiosité, ce vilain petit défaut qui fait souvent défaut à beaucoup d'entre nous. Ils n'étaient pas du genre à s'ignorer loin de la, mais Alec avait prit cette fâcheuse habitude qui commencer à peser sur Trish, cette habitude à répondre à ses questions par une autre, à changer de sujet ou encore à lui dire que tout ce dont elle avait besoin de savoir sur lui était écrit dans son dossier. Jusqu'à présent, elle était rester calme, sereine même si l'envie de lui coller une bonne tarte en pleine figure la démanger de plus en plus. Mais quand on fait équipe avec son supérieur, on évite ce genre de chose. Même si Trish était certaine qu'il avait besoin qu'on lui remette les pendules à l'heure. Elle avait essayer de nombreuses fois de le faire parler, elle aurait penser qu'en s'ouvrant à lui, en lui faisant part de son passé plus que sombre, de son secret qui l'avait hanté de nombreuses années, qu'en résumé elle s'était fait violée par une ordure que certes Alec avait descendu devant ses yeux pour la protéger, mais même après cet instant « privilégier » entre eux, il n'avait jamais eut la décence de se confier à elle, comme elle avait pu le faire avec lui. Un coup bas ? Peut être. Un manque de confiance ? Certainement. Mais s'il n'avait pas assez confiance en elle, comment pouvait-il lui confier sa vie ? C'était à vrai dire, sans queue ni tête. Trish ne lui demandait pas une relation, ni de s'attendre à ce qu'elle lui brise leur cœur. Non ! Elle désire simplement l'entendre parler de lui, de sa vie, de ses proches, de sa famille, de sa vie. Rien de plus ! Et cet homme était totalement incapable de s'ouvrir, tel un livre qu'on avait durement fermer avec un cadenas comme si ce qu'il renfermait ne devait jamais sortir de la couverture. Lui, n'avait pas besoin d'un cerbère comme dans Harry Potter pour garder quelque chose caché, Alec le faisait aussi bien sans l'aide de personne. Mais, Trish commençait réellement à en avoir marre de cette relation à sens unique, sans partage … Elle lui avait fait de nombreuses fois la remarque, ce qui avait subitement provoquer un froid dans la conversation pour l'instant suivant changer de sujet. Mais cette fois était comme dire, différente. Ils avaient tout deux suivit, justement en filature cet homme au nom russe totalement imprononçable dans les hauteurs des collines de Los Angeles, à l'abris des regards où il n'y avait que mère nature qui aurait pu les déranger. Les yeux rivés sur cette sublime demeure d'au moins six hectares, jumelle en main, ils ne lâchaient pas des yeux leur cible examinant avec soin les entrées et les sorties de cette villa, tout en étant en communication constante avec le reste de l'équipe dont l'un des membres qui avait réussit à pénétrer cette forteresse sous couverture. « J'ai deux places pour aller voir jouer les Lakers ce week-end, ça t'intéresse ? » Il n'avait même pas bouger d'un pouce, les yeux rivés grâce à cette paire de jumelle sur cette somptueuse demeure. Trish quant à elle, tourna la tête délicatement vers lui en ayant un sourire. C'était à elle qu'il était en train de s'adresser ? En même temps hormis, Alec et elle-même il n'y avait personne à proximité. « Tu plaisantes ? » Elle le fixait encore, avant de reprendre. « Je dois prendre ça pour quoi ? Un rendez-vous ? Et depuis quand tu acceptes de sortir en dehors du boulot avec des collègues ? » Elle n'aurait peut être pas du aller jusqu'à ce point, lui reprocher ce qu'ils avaient au final décider comme d'un accord. Le pauvre, il lui avait juste poser une question et elle était déjà certainement en train de lui prendre la tête. « C'était une simple question Trish, où tu pouvais simplement répondre par un oui ou par un non. On est amis non ? » Après tout il n'avait pas tort, ils n'étaient pas en train de jouer au célèbre jeu du ni-oui, ni-non. « Les amis ça communiquent entre eux, ça se parlent et ça se confient l'un à l'autre. Désolé boss, mais nous sommes vraiment tout sauf des amis. » Alec n'avait pas quitter sa cible des yeux et n'avait même pas adresser un regard à la demoiselle. « D'accord. » Un simple d'accord ? Juste un mot, après tout, il en avait peut être réellement rien à foutre de leur relation. « Juste d'accord ? » Trish s'était relever du sol, le regardant à terre. « Tu veux que je dises quoi ? » Il avait enfin dégainer la regarder. « Parle moi de toi. C'est si compliqué ? » Il avait pousser un long soupir, avant de reprendre position comme si elle avait toucher le point sensible. Au final, il n'avait même pas répondu à sa question, laissant planer un blanc durant quelques instants, avant qu'il soit interrompu par Trish elle même. « C'est toujours la même histoire avec toi. Je ne sais jamais, jamais à quoi tu penses ... J'ai vraiment l'impression de faire équipe avec un adolescent … » Elle avait fait demi-tour, regagnant le véhicule avec lequel elle était parvenu jusqu'ici. Colérique, énervée même, elle avait envie de frapper quelqu'un à instant même. Alors qu'elle arrivait à proximité du véhicule et qu'elle allait ouvrir la portière, Alec venait de lui attraper le poignet, l'obligeant à se retourner pour lui faire face. Sans s'y attendre, il avait déposer ses mains sur le visage de la jeune femme, collant ses lèvres contre les siennes. C'était suivit d'un baiser des plus tendre, où leurs lèvres n'avaient fait plus qu'une, comme si on assistait à un premier baiser, ce genre de baiser qui vous donne des frissons dans tout votre être. Alors qu'on aurait pu s'attendre à la fin de ce baiser à un sourire des plus complices, ce fut tout le contraire. La jeune femme se perdit tout d'abord dans les yeux du jeune homme, regardant l'un puis l'autre avant de reculer de son étreinte, en même temps que son visage changeait d'expression. Un gros « calp » se fit entendre. Alec venait de faire connaissance avec la main droite de Trish, en effet, elle venait de le gifler pour ce geste qui pourtant avait sembler des plus romantique. « Ne refais plus jamais ça, plus jamais ! » Elle avait eut ce regard noir qui voulait en dire autant que des mots. L'instant suivant, elle venait d'ouvrir la portière du véhicule, s'installant au volant de celui ci. Marche arrière en route, elle laissa son partenaire la, sans aucune explication. Pas de panique, il ne se ferait pas manger par des coyotes, il était venu lui même avec son propre véhicule. Qu'importe, elle était perdue de ne pas comprendre ce qu'il voulait. Un jour, il lui dit qu'il ne veut rien de plus avec elle et l'autre il l'embrasse … C'était peut être elle qui était blonde qui sait ? Une fille normale aurait sans doute fait demi-tour, mais Trish est tout sauf « normale ». Puis pour en parler, elle attendrait calmement le fin de cette mission, cela semblait des plus logique. Mais, elle avait cette envie de faire demi-tour pour s'excuser et lui sauter au cou, lui dire qu'elle était désolé pour son geste déplacer. Ces quelques instants qui repassaient en boucle dans sa tête, comme un CD rayé qui restait bloquer sur la même séquence. Elle s'était vraiment sentie stupide de l'avoir repousser de la sorte, même si à vrai dire elle ne savait toujours pas ce que ce baiser pouvait signifier pour lui. Est-ce juste une façon de la faire taire ? De peut être jouer avec elle ? Ou simplement est-ce la façon d'exprimer ce qu'il ressentait au plus profond de lui même : ce qu'on appelle les sentiments. Tant de possibilité qui se bousculait dans sa tête et pourtant aucune réponse ne lui venait à l'esprit. Cependant, la sonnerie de son téléphone la fit sortir de ses pensées. C'est tellement mal de conduire au volant avec un téléphone, mais merci la technologie d'avoir inventer le Bluetooth ! Ainsi elle prit l'appel qui lui donnait de nouvelles directives à suivre. Sans poser de question, elle s’exécuta. Après tout quand vous êtes tel un soldat, votre rôle est de suivre les ordres et de tout simplement fermer votre gueule, puisque vous n'avez pas votre mot à dire.

⊹ ⊹ ⊹
Le soleil venait de se lever. Les premiers rayons s'étaient d’ailleurs déposer sur son doux visage. Cela ne l'avait certes pas réveiller parce que Trish le mot « dormir » ne faisait pas réellement partit de son vocabulaire, mais cela l'avait fait agréablement sourit. Elle s'était d'ailleurs lever, un verre de jus d'orange à la main, regardant au loin cette grosse boule de lave en fusion s'éveiller. Son regard c'était ensuite poser sur son téléphone. Aucun appel en absence, ni aucun message reçu. Alec devait réellement faire la gueule pour ne pas l'avoir rappeler. Surtout qu'elle avait essayer plusieurs fois la veille de le joindre, mais sans succès : directement sur messagerie. Mais elle savait bien qu'il ne pourrait pas faire la tête bien longtemps, puis ils avaient réellement besoin de s'expliquer sur ce qui c'était passer hier. Il ne pourrait pas reculer, ni éviter le sujet sachant qu'ils étaient tout deux partenaires et qu'à un moment donner, cela allait forcément revenir sur le tapis. Trish était bien décidée à en savoir plus, même à aller jusqu'à s'excuser pour son geste. Elle avait donc bu son verre d'un trait, après tout boire cul-sec un verre de jus d'orange n'avait jamais fait de mal à personne. Prit par la suite ses clés de voiture poser sur la commode, descendu les escaliers un à un de ces cinq étages : c'était son sport de la matinée pour bien commencer la journée. Quand elle fut dans son véhicule, elle s'attacha les cheveux en faisant une queue de cheval bien haute, se servant du rétroviseur intérieur comme miroir. L'instant suivant, la clé dans le contact, le frein à baisser, embrayage et accélérateur, c'était partit direction le QG. Mais avant de rejoindre le quartier général, elle faisait comme à son habitude un arrêt chez Alec. Il était très courant qu'elle passe le chercher, c'était soit disant pour faire des économies de carburant, puis ils avaient ensuite l'habitude d'aller dans ce petit café à deux pas pour y prendre un petit déjeuner, du moins obliger Alec à manger le matin car aller bosser l'estomac vide n'était vraiment pas agréable. Mais quand elle eut frapper à sa porte, aucune réponse. Elle réessaye une seconde fois, mais en vain. Il devait certainement déjà être en route pour le boulot. Sans chercher à comprendre plus, la belle brune remonta dans son véhicule au moteur encore chaud. Quand elle arriva sur le parking dédier au personnel de l'équipe, la voiture d'Alec n'était point la. Le jeune homme avait peut être passer la nuit ailleurs, après tout comme il dirait c'est sa vie privée et ça ne regarde personne. Son cuir sur les épaules et son portable dans sa main jetant un coup d’œil aux nouveaux articles de la presse locale, elle fit éruption dans le hall de leur société. Elle monta encore une fois les étages un à un, arrivant enfin jusqu'à son bureau ou elle déposa ses affaires rejoignant le reste de l'équipe dans la salle de débriefing. Elle regarda le visage des personnes qui l'entouraient, ils avaient tous plus au moins cette même expressions, cette expression quand quelqu'un est mort … « Blackwell n'est pas encore là ? » Dans sa tête, elle se disait après tout il devait être en retard. C'était vrai, il n'y avait aucune trace d'Alec dans les parages. Mais quant elle eut prononcée son nom, cela avait eut l'impact d'une bombe. Trish haussa les sourcils sans vraiment comprendre pourquoi personne ne répondait à sa question. C'était pas compliquer merde de répondre par un oui ou par non. « Personne ne lui a dit ? » Trish détestait déjà qu'on parle d'elle ainsi, comme si elle n'était pas présente dans la pièce. Et vu le ton employer ça ne laissait rien présager de bon. « Me dire quoi ? » Elle avait croiser ses bras, limite taper du pied pour qu'on lui explique ce qui était en train de se passer et surtout ce qu'on avait « omit » de lui dire. On la prenait pour une enfant ou quoi ? Puis Trish détestait ne pas être au courant des choses. « Hier, les choses ne sont pas déroulés comme on l'aurait voulu. Il y a eut des complications lors de l'intervention. Muller est décédé dans l'exercice de ses fonctions quant à Blackwell, ils le retiennent en otage ... » C'était une blague ? Si ça en était une, elle était vraiment de très mauvais goût ! Mais à la vue des regards qu'on pouvait lui porter et l'ambiance qui régner dans cette pièce, ce n'avait vraiment pas l'air d'être une blague … Trish se laissa tomber dans une chaise derrière elle, laissant tomber sa tête dans ses mains. Elle ne pleurait pas certes, mais son cœur palpitait à une vitesse incontrôlable. Elle était presque devenue blanche qu'on dû lui apporter un verre d'eau pour qu'elle se remette de ses esprits. Ce n'était juste pas possible. Comment le meilleur élément de cette équipe se retrouvait prit en captivité ? Pour elle, c'était totalement impossible. « On sait à quel point vous étiez proche avec Blackwell, donc si vous avez besoin de quelques jours cela ... » Trish s'était relever coupant la parole de cette femme, si imposante, qui était sa supérieur, celle qui donner les ordres et pour laquelle Trish avait énormément de respect. « La vie privée ne doit en aucun cas empiéter sur la vie professionnelle. Donc quels sont les ordres ? » Ok, elle souffrait au plus profond d'elle. Il était même certains qu'à un moment elle éclate en sanglot, mais Alec n'avait pas signer son arrêt de mort. Elle savait très bien que c'était un battant qu'il se battrait pour survivre. Et quoi qu'on dise, elle était prête à se lancer dans une mission suicide pour le sortir de la, qu'importe si pour ça elle devait risquer sa vie. Il l'avait fait tant de fois pour elle. Puis quand on est partenaires jusqu'à preuve du contraire, c'est à la vie à la mort et il n'y a pas de doute la dessus, Trish donnerait sa vie pour sauver celle d'Alec. Vous pouvez appeler sa de la bravoure, de la solidarité, peut être du suicide aussi. Mais quand on est prêt à tout pour l'autre, que vous le voulez ou non, c'est qu'au fond de vous sommeille ce qu'on appelle : l'amour. Même si ce sentiment est minime, il dicte vos actes et vous aide à vous surpassez. Au final c'était peut être ce sentiment si commun, qui était en train de pousser Trish à tout faire pour le ramener auprès d'eux, auprès d'elle …

⊹ ⊹ ⊹
Les secondes s'étaient transformer en minutes, qui était devenues des heures, puis des jours, puis encore des semaines et pour finir des mois … Exactement 76 jours, 5 heures et 34 minutes qu'elle était sans nouvelle de ce cher Alec. Était-il encore en vie ? C'était une certitude, le contraire ne pouvait être envisageable. Surtout quand on connaît Alec Blackwell, comme elle le connaît. L'équipe n'avait pas arrêter leur recherche afin de savoir ou il pouvait être détenu prisonnier. Aucun d'entre eux, ne pouvait se mettre à sa place. Aucun ne pouvait une seule seconde imaginait ce qu'il pouvait subir à cet instant précis. Mais le plus important était de réussir à le sortir de ce merdier, ou plutôt de cet enfer qui était devenu son quotidien depuis les deux derniers mois … Comment allait-il en sortir ? C'était une bonne question, Trish voyait déjà le pire. Mais qu'importe, il avait besoin d'eux et aussi besoin d'elle pour le sortir de ces beaux draps, ce véritable enfer sur terre. Et voilà qu'aujourd'hui, cette mission « sauvetage » qu'elle attendait depuis des mois allait enfin se concrétiser. Deux longs mois durant lesquels elle n'avait réussit à trouver le sommeil. Déjà que Trish ne dort jamais, la c'était pire et pourtant c'était toujours autant cette boule de nerf que tous connaisse. Elle était aussi prise de regrets ainsi que de culpabilité de l'avoir dans un sens abandonnée ce jour la. Peut être que si, elle était rester avec lui cela ne se serait jamais produit et qu'il serait à ses côtés en train de se chamailler ou simplement parler du beau temps ensemble. C'est bien connu, avec des « si » on pourrait refaire le monde. Sa priorité était donc de le retrouver. Dans un sens, elle vivait, dormait, mangeait Alec … Jamais elle ne voulait qu'il pense qu'elle l'avait abandonner et elle ferait tout ce qui est en son pouvoir pour le secourir. C'est donc de cette façon, qu'elle s'était retrouvée en charge de cette équipe hors du commun, qui comme elle n'avait qu'un seul objectif : le sauver ! Ils avaient de nombreuses fois écouter les directives à suivre. Ils devaient le ramener coûte que coûte. Si on se dressait contre eux, ils avaient l'autorisation d'ouvrir le feu et Trish savait très bien qu'elle serait sans pitié. Peu importe si l'homme ou la femme qui se tenait devant elle avait une famille, elle était loin de faire dans le sentimental et encore plus quand on touche à lui … Une fois encore, elle attacha ses cheveux, d'une queue de cheval assez haute, enfila cette combinaison noire en kevlar. Ce qui disons le, la mettait vraiment en valeur, faisant ressortir ses formes. En y pensant ce genre de tenue, aurait sûrement beaucoup de succès dans des films interdit aux moins de 16 ans. Elle s'était équiper en armes à feu, sans oublier ce couteau qu'elle cachait si bien dans ses bottes et qui ne la quittait que très rarement. Ils n'avaient vraiment pas fait dans ce qu'on appelle le silencieux dans les armes à disposition, en même temps ce n'était pas le but. Ils avaient fait le trajet en hélicoptère jusqu'à ce bled paumé dans les montagnes, où le blanc était la couleur dominante. Cette neige froide était donc le paysage dominant. Ce qui semblait logique quand on est en Russie. L'appareil les avaient déposer à 5 kilomètres du lieu convoiter, afin de n'éveiller aucun soupçons. Le groupe avait été diviser en deux, pour que l'un face diversion pendant que l'autre entrerait dans cette forteresse. Ils marchaient ensemble, l'un derrière à l'autre sans faire de bruit, tel un chat. Deux snipers avaient été poster en hauteur pour avoir une vue d'ensemble. Le pilote de l'hélicoptère avait pour ordre d'attendre sagement l'équipe pendant une heure, l'heure passée, ce dernier devait les laisser sur place. Il n'y avait donc pas de temps à perdre … Dès lors qu'ils eurent entendu les coups de feu à l'avant du bâtiment, ce fut le signal et après cet instant, tout allait vraiment à vitesse grand V. Pour éviter tout soupçons sur leurs présence en retrait, elle avait abattu le garde qui se tenait devant cette porte d'un coup de couteau à la jugulaire, cela était beaucoup plus rapide. Les deux hommes derrière elle, avaient enfoncer la porte afin de l'ouvrir, laissant place à une dizaine d'homme armés jusqu'au poing, tous parlant russe. Il ne fallait pas forcément connaître la langue pour comprendre ce qu'ils disaient. Sans perdre un instant, ils s'étaient à trois jeter à terre derrière un canapé, ouvrant le feu sans perdre un instant. Leur équipe n'était pas des surhommes, mais peut être avaient-il été mieux entraîner que les hommes qu'ils venaient abattre. Mais d'autres arrivaient en masse. Profitant d'une ouverture et se faisant couvrir, Trish descendu les escaliers prenant soin d'éliminer toutes menaces qui pouvait se trouver à proximité. Elle était persuadée qu'il devait se trouver dans ce sous-sol, après tout elle doutait réellement qu'ils avaient fournit à Alec une chambre trois étoiles … Des coups de feu résonnaient à travers les pièces de cette demeure, c'était devenue la mélodie ou la musique de fond de la journée il fallait croire … Alors qu'elle s’apprêtait encore une fois à tirer, levant son MP7 vers la tête de l'homme à abattre, elle se stoppa net. Elle aurait pu reconnaître ce regard entre cent, ces yeux d'un vert qui l’envoûtait. Ce soulagement quand elle le vit, en vie. Il avait même réussit à lui faire dessiner sur son visage un sourire. Si bien qu'elle avait empresser le pas vers lui à une vitesse folle. Elle savait très bien qu'il avait vécu un enfer et que certainement jamais il oserait lui en parler, mais le plus important à ce moment la était de le sortir d'ici. Alec venait de s'écroulait dans ses bras certainement de fatigue. Pour réussir à s'échapper, il avait du en chier c'était certain … « Je suis en train de rêver, ce n'est pas possible. Mais c'est un magnifique rêve de te voir, de pouvoir te toucher enfin. Je ne veux plus me réveiller … C'est une belle mort que celle de mourir dans tes bras. Tu es encore plus belle que dans mes souvenirs Trish ... » Le jeune homme s'étaient enfouit dans son cou, sentant par dessus ses cheveux, ce qui eut le don de la faire sourire avant de le serrer encore plus fort contre lui. Elle avait eut cette impression que la terre avait arrêter de tourner et que le temps s'était stopper juste pour eux. Trish avait quitter son étreinte avant de le regarder dans les yeux. « Écoute moi Alec, tu n'es pas en train de rêver et personne ne va mourir aujourd'hui. Tu peux marcher ? » Il avait hocher la tête en guise d'approbation, bien qu'elle l'aider dans un sens à tenir debout. « Tient prend ça, ça te sera utile. » Dit-elle en lui passant l'une des armes qu'elle avait sur elle. La seconde suivant, elle émettait un appel radio grâce au talkie-walkie qui permettait de communiquer entre eux, expliquant qu'elle avait récupérer le colis, ce pourquoi elle était venue ici au péril de sa vie. Elle aurait voulu lui demander des millions de fois comment il allait, si elle pouvait faire quelque chose pour aller mieux, mais à vrai dire le temps n'était pas à la communication. Il avait passer son bras au dessus de ses épaules et elle dans son dos pour l'aider à marcher du mieux qu'elle pouvait. Ils durent ensemble abattre encore six hommes qui se tenaient sur leur passage. De retour au rez-de-chaussé, ils devaient se frayer un chemin à travers ces corps étendus sur le sol. Un membre de l'équipe vint aider Trish en portant Alec, ce qui était plus facile quand on était un homme d'en porter un homme, après tout ils ont une carrure plus développer que celle d'une femme. Ensemble, ils rebroussèrent chemin jusqu'au lieu de rendez-vous. Une fois à bord de l'hélicoptère, ils échangèrent tous un sourire de soulagement de voir que cette mission avait eut un succès et surtout de revoir ce cher Alec Blackwell qui au final n'avait pas uniquement manquer qu'à elle. Il s'était d'ailleurs laisser appuyer sur l'épaule de Trish, entrelaçant ses doigts avec les siens et c'était paisiblement endormit sur elle ce qui eut le don de la faire plus que sourire. Alors que l'engin était déjà dans les airs à une distance très raisonnable, elle entendit un gros « boum » derrière elle. Ils avaient en effet, tout détruit derrière eux, en plaçant des explosifs un peu partout dans cette forteresse de glace. Mais même ce bruit sourd ne l'avait pas réveiller, il dormait si bien que rien au monde n'aurait pu le réveiller.

⊹ ⊹ ⊹
Encore une fois, le temps avait passer et de l'eau avait certainement couler sous des ponts. Alec avait plus au moins récupérer du moins physiquement de cette épreuve qui l'avait marquer à tout jamais, du moins c'était ce dont Trish pensait. Depuis cette mission « sauvetage », elle s'était dans un sens sentie plus proche de lui voire même devenue parfois un vrai pot de colle ou ce qu'on appelle une maman-poule. Trish savait très bien que cela pouvait exaspérer Alec comme ça pouvait le faire sourire. Elle n'avait toujours pas aborder le sujet de ce baiser qu'ils s'étaient échanger quelques mois auparavant, mais le plus important maintenant était qu'il soit heureux, le reste n'avait plus d'importance.
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